Mon beau facteur... 2
Datte: 12/11/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
« J’ai jamais couché avec un mec, j’espère que je vais pas te décevoir ! » Ça faisait plus d’une heure que Damien et moi, Pascal, nous nous embrassions, caressions, léchions. Depuis longtemps, à force de se tourner et de se retourner, la couette était passée par terre, nos deux corps se mêlaient l’un à l’autre. Sa peau contre la mienne, ses lèvres, son souffle, l’odeur de son corps, ses caresses m’électrisaient. Un temps, j’avais oublié que ce super beau mec, mon facteur, rencontré depuis 6 mois, n’avait jamais fait l’amour à un mec. Sa déclaration m’a ramené à la réalité. Il fallait que je l’aide, que je le rassure, que je l’accompagne. Je sentais sa fébrilité et son envie, ses craintes et sa virilité, ses doutes et sa puissance. Pour le rassurer, j’ai répondu : « T’inquiètes, ça va être bon, on va prendre du plaisir, laisse-moi faire ». Je l’ai mis sur le dos, j’étais allongé sur lui, je l’embrassais à pleine bouche, nos langues ne formaient plus qu’une, nos deux sexes, durs et raides, se frottaient l’un contre l’autre et mouillaient nos ventres. Mes mains caressaient sa tête, les siennes m’écartaient et me massaient les fesses, parfois, ses doigts me branlaient l’anus et, je mouillais, comme il faisait ça très bien, je gémissais. Un doigt, puis deux sont entrés et ont commencé les va-et-vient. Son expérience d’hétéro lui servait bien, il prenait confiance en lui, je l’encourageais pour le rassurer par des gémissements et des « oh oui, vas-y, c’est bon, continue». J’ai ...
... commencé à descendre pour lui mordiller les tétons, il s’est mis à pousser des petits cris entrecoupés de « Oh putain, c’est bon ! ». J’ai pu observer son torse musclé, puissant, quelques poils pour la virilité, j’étais au paradis, ça valait le coup d’avoir ramé pendant 6 mois pour le mettre dans mon lit ! Après lui avoir excité les tétons, j’ai longuement léché son ventre et son nombril tout en pinçant et massant sa poitrine. Là, je me suis retourné pour qu’il puisse s’occuper de ma bite et de mon trou, il a compris le message mais, en bon hétéro, il m’a branlé et a commencé à me bouffer le cul. Il faisait ça très bien, j’ai pensé aux meufs à qui il avait dû bouffer le minou, c’était mon tour et je comptais bien en profiter ! Moi, je me suis attaqué à ses couilles, ça lui a arraché quelques cris quand je les ai gobées. En même temps, une de mes mains s’est aventurée dans sa raie que j’ai caressée, je me suis attardé sur son trou, il a écarté les jambes, j’ai sucé mon doigt pour le lubrifier et j’ai enfoncé la première phalange, puis la deuxième et tout le majeur, j’ai limé puis l’index a rejoint son pote ! Il gueulait de plaisir, j’avais sa bite dans la bouche et mes deux doigts dans son fondement. J’étais super fier de moi car là, je le sentais bien, je lui faisais vivre quelque chose d’inédit et il aimait ! Je me disais qu’il fallait lui en donner un maximum pour qu’il n’ait aucun regret après coup et même envie de remettre ça. Tout en lui limant le trou, je me disais qu’un ...