1. Mon beau facteur... 2


    Datte: 12/11/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... sentais bien que c’était en bonne voie. On a testé un grand nombre de positions et l’on a utilisé à peu près toutes les pièces de l’appartement. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser que, quelques années auparavant, il avait déjà dû faire la même chose aux mêmes endroits avec sa copine, ça m’excitait encore plus. Il savait me donner beaucoup de plaisir et me suçait régulièrement, il avait même fait de gros progrès. Par contre, un doigtage et un suçage de son trou étaient le maximum de concession qu’il faisait, pas question d’envisager encore d’être passif. Son cul, si beau, me faisait tellement fantasmer que je lui mordillais les fesses, je le lui caressais et massais tendrement pour qu’il éprouve du plaisir et veuille me le donner mais non, cette étape était encore infranchissable ! Il a trouvé un appartement, ses potes et moi l’avons aidé à s’installer (putain de meubles à monter soi-même avec ses kilos de vis, de chevilles et ses notices en chinois !). La dernière nuit chez moi, j’ai tenté le tout pour le tout. Il était allongé sur le ventre, je lui bouffait le cul, il ...
    ... gémissait comme une pucelle, j’ai pas réfléchis, je me suis allongé sur lui, j’ai guidé ma bite, j’ai appuyé, le gland a ouvert son trou, j’allais l’avoir. Et bien non ! Il s’est décalé d’un coup sec, je suis ressorti de lui, il m’a dit : « Non, pas ça ! Pas maintenant, pas comme ça, j’en ai pas envie ! » Il fallait que je rattrape le coup ! « Excuse-moi, j’ai pas réfléchis, c’était dans l’excitation du moment. Tes gémissements, j’ai cru que je pouvais, m’en veux pas. » « Non, non, t’inquiète ! Je sens bien que t’en rêve mais moi, ça me rebute encore » On a repris les galipettes ! Ouf, je n’avais pas tout gâché ! Au milieu de la nuit, juste avant de nous endormir, je lui dis : « Dis donc, tu m’as dit tout à l’heure : pas maintenant, pas comme ça ! Ça veut dire qu’un autre jour, différemment, ça pourra le faire ? » Il s’est retourné, a poussé un long souffle et m’a juste dit : « Dors au lieu de penser à mon cul ! » Ça, je ne peux pas m’arrêter d’y penser, je me suis endormi avec un sourire de satisfaction, un premier verrou venait de sauter ! J’allais réussir à baiser mon beau facteur !!! 
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