Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... est gentil. - Vous allez voir. Et vous qui venez de coucher avec maman, quand vous regarderez mon corps de poulet, faudra que je vous travaille pendant un quart d'heure pour vous faire bander. - Pas du tout. Je te parie un sac de bonbons. - Et qu'est-ce que je vous donnerai si je perds ? - Une discrétion. - Tope ! dit-elle. Je m'en fous. Je sais tout faire. Vous gênez pas." Le déshabillage de Lili se fit en quatre temps et six mouvements : la robe, les deux pantoufles, les deux chaussettes, la chemise. Quand elle eut enlevé tout cela, il ne restait presque rien de Mlle Lili, tant sa nudité me semblait peu de chose. Des bras et des jambes comme des échalas; des cheveux noirs jusqu'à la taille ; un petit corps fluet avec une grosse motte et un sexe tout en saillie s'il est vrai qu'un menu bien compris doit réunir les mets les plus dissemblables, le service de Lili après celui de Teresa eût été la trouvaille d'un chef. Le premier mouvement de Lili me donna tout de suite bonne opinion d'elle. Au lieu de me sauter au cou, elle chercha entre mes jambes. Ai-je besoin de souligner tout ce qu'un pareil geste comporte d'innocence ? La pauvre petite s'était annoncée (comme d'autres à son âge se nomment Enfants de Marie) sous le titre d'Enfant de Putain, une gosse qui se présente ainsi n'est pas une gosse comme les autres. Elle a du culot, pour le dire tout net. Et cette enfant de putain, sa chemise enlevée, m'abordait comme une ingénue qui baisse les yeux et cherche d'abord ce que les ...
... garçons ont de plus que les filles. Les petites prostituées ont des candeurs inaltérables. Comme je me sentais encore sous le charme de ma lecture rafraîchissante, j'attirai Lili dans mes bras, et je me mis à bavarder, parmi quelques attouchements que nous qualifierons d'outrage à la pudeur commis sans v******e. "Lili, tu es une très jolie gosse, lui dis-je. - C'est pas vrai. Quand je me branle devant la glace, je ne m'excite pas." Cette phrase me fit rire aux éclats. Lili resta sérieuse; et comme il est aisé de séduire les enfants, elle affirma sans préambule, sans raison, mais d'un air pénétré: "Je vous aime bien. - Oh ! alors, ma petite Lili, tu as deux idées dans la tête. - Pourquoi deux ?... Oui, c'est vrai, j'en ai deux. Comment savez-vous ça ? Votre doigt vous l'a dit ? - Justement. Les idées que les filles ont dans la tête... - Ça leur vient du con ?" fit Lili. Il m'est difficile de cacher maintenant où flânait le doigt qui me disait tant de choses. "Si tu en sais tant ! répondis-je. Mais tu ne sais pas pourquoi tu as deux idées ? C'est que, quand on aime bien quelqu'un on veut de tout son cœur un plaisir pour lui et un de sa part." Elle eut un instant de réflexion : le temps de comprendre une maxime. Puis elle sourit et se fourra la figure sous la mienne pour répondre : "Vous ne la trouvez pas trop petite, ma moniche d'un sou ? Vous voulez bien me baiser quand même ? - Tu es de plus en plus gentille, ma Lili. La première chose dont tu me parles, je suis sûr que c'est ...