Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... pour mon plaisir. - Oui, fit-elle, un peu confuse. - Et pour toi ? Qu'est-ce que tu voudrais ? - Vous sucer." Le mot était dit. Elle me serra les bras autour du cou et se répéta dix fois, sur le ton rieur et chantant d'une enfant qui demande une gâterie : "J'ai envie de vous sucer la queue, la pine, la bite, le zob, l'andouille. Envie que vous bandiez dans ma bouche. Envie de vous téter. - Comment, tu tètes encore, à ton âge ? - Pas beaucoup de lait mais beaucoup de foutre. - C'est bon ? - C'est bon quand on s'aime. - Pour combien en voulez-vous, mademoiselle ? pour un sou ? deux sous ? trois sous ? - Je veux tout ce qu'il y a dans la boutique ! Et je paie d'avance, monsieur, avec mes deux trous. - Quoi ? - C'est pas une blague. - Non. Je vous fais crédit, mademoiselle, on vous débitera. Mettez-vous à table." Lili avait encore de petites choses à me dire. Toujours les deux bras autour de mon cou, elle soupira : "C'est que... Écoutez. J'ai promis à maman : vous ne jouirez qu'une fois; il faut en laisser pour Charlotte cette nuit. Alors on pourrait faire plusieurs choses en une fois. On pourrait même tout faire. - Rien que ça ? - Oui. Je suis la plus petite des trois, mais c'est moi qui en fais le plus. Je fais tout, sauf l'amour entre les tétons, parce que j'en ai pas. Voulez-vous me baiser, m'enculer et jouir dans ma bouche ? Je vous dirai après pourquoi."Et vivement, retournant la tête, elle poussa un cri : "Oh! le voilà qui bande sans qu'on le touche ! Mon sac de bonbons ...
... est perdu. - Tu l'auras quand même. - C'est vrai ? Et pour ma discrétion ? qu'est-ce que vous allez me demander ? - Quand tu me donnes ta bouche et tes deux trous, qu'est-ce que je pourrais te demander de plus ? - Ma langue !" fit-elle gaiement. Et elle fut si prompte à payer sa dette... Comment dire de quelle façon Lili m'offrit sa petite langue ? Je l'arrêtai trop tard. "Lili, qu'est-ce que tu m'as fait ? - Une langue dans le derrière! dit-elle, toute joyeuse. Ça mérite une queue par-devant." Elle se jeta sur le dos, les pattes en l'air, le sexe écarquillé. Elle s'y fourra autant de salive qu'il en aurait fallu pour violer une chatte et je vis bientôt que j'étais naïf de ne savoir comment la prendre, car les petites filles sont plus faciles à baiser que certaines femmes. J'entrai sans trop de peine… "C'est tout, fit-elle en souriant. On met le petit bout et on est au fond. Y a plus rien... Ça vaut pas la peine. - Oh! mais si ! - Non. Je ne suis bonne que d'un côté. C'est pas celui-là. - Pour ce que tu viens de me dire, tu mériterais que je te fasse un enfant."Elle rit, mais ajouta bien vite : "Tu me le feras dans la bouche, mon gosse ?" Comme je suis également éloigné de l'esprit sadique et du moralisme presbytérien qui se partagent la société, ce que je vais dire n'est que l'expression d'un sentiment personnel et risque de déplaire à tout le monde : autant il m'eût été pénible de posséder une petite fille contre son gré (je n'ai d'ailleurs aucune expérience du viol), autant ...