Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... avant que tu m'encules et je suis prête à recommencer. - Tout de suite ? - Mais oui. Tu ne vois donc pas que je me branle "autour" ? Quand tu me diras de jouir, je jouirai." Ces choses-là ne se disent pas. Je lui fis comprendre que je l'attendais et son plaisir qui devança le mien d'un instant se prolongea pourtant davantage, car les femmes jouissent plus longtemps que nous. La minute qui suivit ne nous sépara point. Charlotte restait dans mes bras et me regardait en silence avec cette expression de gratitude que tous les amants connaissent. "J'aime tes seins", lui dis-je en les caressant. Et je n'avais dit que cela et j'espère que j'allais trouver quelque chose de mieux, quand elle m'interrompit avec une exclamation de surprise : "Oh ! que tu es gentil! C'est maintenant que tu aimes mes seins, mon chéri? Tu viens d'enculer la pauvre Charlotte et tu n'en es pas dégoûté ? - Dégoûté ? mais tu es folle. - Si tu savais ce que c'est que la vie d'une putain... - Je t'avais défendu de te traiter ainsi. - Alors qu'est-ce que je suis depuis douze ans qu'il me passe tous les jours quatre ou cinq hommes sur le derrière et que n'importe quelle gousse peut me frotter son cul sur la gueule ? Si je te dis que toutes les putains se branlent, c'est qu'elles ont des raisons pour ça. Quand on fait le métier, on se branle ; autrement on ne jouirait guère. En tout cas, on sait une chose, c'est que quand on a tout fait pour plaire à un homme et qu'il a fini de décharger, on n'est plus qu'une ...
... putain et une fille de putain. - "Ma pauvre Charlotte", comme tu dis, je t'assure que... - Et je ne suis pas habituée qu'on me fasse des compliments sur mes nichons quand on vient de m'enculer, voilà." Elle avait encore les larmes aux yeux. Je ne savais que lui répondre. L'aimais-je assez pour me faire aimer d'elle ? Afin de me laisser le temps de la réflexion et de mieux connaître ma compagne de lit, je posai une ou deux questions auxquelles Charlotte répondit par toute une histoire : celle de sa vie.CHAPITRE V Charlotte s'accouda sur le lit, mit entre mes doigts les seins que j'aimais et me dit de sa douce voix : "Aussi loin que remontent mes souvenirs, j'ai vu enculer maman. Elle était comme moi, elle faisait tout. De temps en temps elle trouvait un homme qui aimait mieux se faire sucer. Ou bien elle ramenait une gousse. Comme elle avait plus de poitrine que je n'en ai, elle avait tous les huit jours, le dimanche, un ami qui lui faisait l'amour entre les tétons. Ça m'amusait parce qu'il lui déchargeait sur la figure. Enfin il lui arrivait même de baiser puisqu'elle a eu trois filles. Mais tout ça c'était l'exception. Maman était connue pour se faire enculer. On l'enculait, et voilà tout.""Et, pour ça, maman est aussi comme moi, elle n'a jamais joui autrement, ni Ricette non plus, et Lili sera comme nous. Seulement, tu penses, il y a des jours où une jeune putain se fait enculer par sept ou huit hommes sans qu'il y en ait un qui l'excite; et même si elle en trouve un, il n'y a ...