Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... pas souvent de quoi se mouiller la chemise ni avoir les yeux cernés. Alors, tous les jours quand j'étais bébé (mais tous les jours au moins deux fois), maman se branlait sur le lit et chaque fois de la même façon : un monsieur venait de sortir, elle restait toute nue, elle prenait dans un tiroir une bougie qu'elle avait fait fondre un peu par le bout, ou bien un rouleau qu'elle faisait tiédir, ou encore le godemiché qu'elle avait acheté pour piner les gousses et avant tout elle se fourrait ça dans le derrière. Jamais maman ne s'est branlée devant moi sans avoir quelque chose dans le cul. Ensuite elle se couchait au milieu du lit et, du bout du doigt... Que veux- tu ? c'est ainsi que les putains déchargent. Maman m'a toujours dit qu'elle m'avait fait téter son foutre en même temps que son lait. Ce que je me rappelle, c'est que pendant toute mon enfance je la regardais se branler et j'allais la lécher quand elle avait fini, et plus il y en avait, plus j'étais contente. Maman m'a dit aussi que j'avais cinq ans le jour où je lui ai fait minette assez bien pour la faire jouir. Je ne me rappelle pas, mais je sais que j'étais très petite. II ne faut pas accuser maman pour tout ça, vois-tu, j'ai vingt ans aujourd'hui, je suis libre, et je fais encore minette tous les jours à maman, et chaque fois j'ai autant de plaisir quand elle décharge parce que je l'aime bien. Naturellement, j'étais aussi toute gosse quand elle m'a fait goûter du foutre d'homme. Il me semble que j'en ai toujours ...
... bu. J'en léchais sur elle quand elle en avait dans les poils ou ailleurs. Je me rappelle un vieux monsieur qui se faisait branler dans ma bouche ; mais il y a longtemps… et je savais déjà téter la queue. C'est la première chose que j'ai apprise. J'avais dans la même rue une petite copine qui était comme Ricette, qui ne pouvait pas sucer un homme sans dégueuler. Aussi j'étais fière parce que ça ne m'arrivait jamais. A cinq ou six ans on me faisait téter des hommes qui n'avaient pas joui depuis quinze jours. Je bavais, j'avais la bouche pleine, j'avalais de travers; mais je trouvais toujours que c'était bon. A huit ans j'ai perdu mon pucelage de derrière. Maman dit que c'est trop tard et que j'aurais pu travailler plus tôt. Pour me préparer, pendant une huitaine de jours elle m'a branlé le cul avec son doigt. Et puis on a fait deux drôles de cérémonies. La première devant un petit cercle de gousses qui avaient fait faire un godemiché spécial avec lequel maman m'a enculée. Elles étaient folles de voir une mère dépuceler le cul de sa petite fille et cela les a mises dans un tel état qu'elles ont voulu toutes s'enculer les unes et les autres avec de gros godemichés! Je n'oublierai jamais cette scène-là. Une jeune fille qu'une dame avait amenée et qui n'avait jamais été enculée, ni par un homme ni par une femme, a été blessée, horriblement, défoncée, crevée, il y avait du sang partout. Ah! je t'assure qu'on en voit dans le métier de putain et qu'à l'âge de huit ans je n'étais pas ...