Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... naïve ! Quelques jours après, seconde cérémonie. Présentée encore comme pucelle, on m'a fait enculer devant un autre public par un petit garçon de mon âge qui bandait de tout son cœur. Puis maman a si bien gradué les expériences que, sans trop souffrir et sans accident, je me suis habituée aux queues les plus grosses. Je n'ai pas saigné. J'avais le trou du cul fait pour ça. Et surtout... Vraiment, c'est facile à comprendre. Toutes les petites filles veulent faire comme leurs mamans. Les filles d'actrices sont folles de joie quand elles ont un rôle à huit ans. Et les filles de putains... quand elles ont un homme elles se croient... Mon chéri, Je ne sais pas parler, mais je voudrais surtout que tu n'accuses pas maman parce qu'elle m'a vendue. Tu vois comme je suis. Je ne me roule pas sur toi comme une enragée, je n'ai jamais été vicieuse ; mais je t'assure qu'à huit ans j'étais contente de faire comme maman. Les jours où elle me prenait dans sa chambre, où je voyais près d'elle un monsieur tout nu où il suffisait que je trousse ma petite robe pour le faire bander, j'étais heureuse ! j'étais fière ! Je me serais laissé enculer depuis le trou jusqu'à la bouche. Vois-tu, le plus beau jouet pour une petite fille, c'est la queue." Elle soupira en détournant les yeux et son regard rencontra ce qu'elle avait oublié. "Oh ! fit-elle. Tu bandes ? - Mais vous avez vingt ans, mademoiselle la petite fille. - Et tu crois que je suis moins heureuse de te faire bander ? fit-elle en se ...
... jetant à mon cou. Tu ne réponds rien, veux-tu que je te suce ? - Oui et non. - Qu'est-ce que tu veux dire ? Je fais tout et je n'ai aucune imagination... Lili nous a dit à dîner ce qu'elle venait de faire avec toi. Veux-tu cela ? Je serai ravie et j'espère que tu seras content." C'était dit si gentiment et j'avais alors si peu d'imagination moi-même (car comment s'y prendre avec une jolie fille qui n'aime pas baiser ?) que je lalaissai faire tout ce qu'elle voulut. Elle se remit exactement dans la même position que la première fois. Si j'écrivais un roman, il va de soi que je varierais les postures, mais je raconte les choses telles qu'elles se sont passées. En pareil cas (et cela est assez singulier) les femmes au lieu de se blaser se passionnent. Charlotte fut plus ardente et surtout plus loquace, parlant sans cesse avec une molle tendresse obscène dont je ne puis exprimer l'accent naturel. Comme elle s'allongeait de dos contre moi, je lui dis en l'embrassant ; "Tes fesses sont aussi jolies que tes seins."Et cette simple phrase me valut un flot de paroles :"Mes fesses ? Comment elles doivent être roses en ce moment ! comme elles ont envie que tu les encules! Mais reste, reste, n'entre pas, nous avons le temps. Laisse-moi te caresser la queue avec mes fesses puisqu'elles te plaisent... Que tu es gentil de me dire cela! C'est ce que j'aime le mieux de mon pauvre corps. - Mais tu es belle, Charlotte !- Non, non, je suis comme les autres. Seulement... quand je vois d'autres filles ...