1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... motte rasée. Un monsieur me fouette de toutes ses forces et se met à bander parce que j'éclate en sanglots. Maman est là pour empêcher qu'on ne me tue... mais enfin tout de même... Quelles minutes !... Et c'était surtout ces jours-là que se passaient les choses dont je te parlais il y a une heure… L'homme qui me faisait ça amenait sa maîtresse, une grande bringue qui avait l'air encore plus féroce que lui. Il l'enculait sur moi, et alors, lui retirer sa pine du cul et me la faire lécher de force quand je pleurais à chaudes larmes, c'était si bon, paraît-il, qu'il jouissait malgré lui dans ma bouche et ensuite il me reprochait de lavoir fait décharger trop tôt, parce qu'il aurait voulu aussi enculer mon derrière fouetté et je recevais une claque si forte que... j'avais beau serrer les lèvres, le foutre en jaillissait comme le jus d'un citron. - Ta mère permettait ça ? - Ne dis pas de mal de maman, d'abord. Je l'ai vue fessée plus fort que moi et ça me faisait plus de mal quand c'était elle. - Je te reconnais là. Et le monsieur était content ? - Probable. Jamais je n'ai pleuré plus fort qu'un soir où il lui a flanqué un coup de fouet qui a fait saigner la pauvre maman depuis la lèvre du con jusqu'au milieu de la fesse. J'en ai failli avoir un coup de folie. Alors pendant presque deux ans maman n'a plus recommencé!"Charlotte rêva un instant, puis elle eut un vague sourire : "C'est l'année où j'ai eu le plus de succès auprès des gousses. Il y a des jeunes filles qui commencent ...
    ... à jouir à dix-huit ou vingt ans, ou même plus tard. Moi, j'ai commencé de bonne heure et l'idée que maman avait eue de me raser faisait de moi un phénomène. Une gousse qui s'étend sur un lit en soixante-neuf sous une petite pucelle sans poil et qui lui fait minette et qui reçoit dans la bouche autant de foutre (et quel foutre!) qu'une nourrice peut donner de lait, tu peux croire qu'elle est excitée... Je dis "et quel foutre..." tu sais qu'il y a deux sortes de gousses, celles qui lèchent le cul de leur bonne parce qu'il a plus de goût que celui de leur amie, et celles qui cherchent au contraire tout ce qu'il y a de plus délicat. Pour celles-ci, un pucelage sans plumes qui bave comme le con d'une gitane, elles ne se lasseraient pas d'y passer la langue. J'ai eu beaucoup de gousses à treize ans et, crois-tu ? je souffrais presque autant qu'à me faire fouetter. La langue m'éreinte. C'est dix fois plus qu'il n'en faut pour me faire jouir. Tu as vu tout à l'heure comme je me branlais, à peine si je me touche. Je n'ai même pas besoin de me toucher. Veux-tu que je te fasse plaisir comme ça ? - Comment ? - Tant que tu voudras, encule-moi sans que je me branle, tu me feras jouir avec ta queue comme si tu enfilais une petite baiseuse. - Alors, pourquoi te branles-tu ? - Oh ! c'est merveilleux tout de même. On jouit quand on veut. - Charlotte, lui dis-je, tu viens de me répondre une énormité. - Ça ne m'étonne pas de moi. Je suis si conne !" fit-elle en secouant la tête. Et comme je la ...
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