1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... tenais affectueusement, et qu'elle se sentait en sécurité dans mes bras, elle me dit avec un rire qui la renversa tout entière : si "l'Histoire des poils de mon cul" pourrait avoir cent volumes, alors combien en faudrait-il pour l'Histoire de mes conneries ? - Mais quelle rage as-tu de t'injurier? - Explique-moi ce que j'ai dit d'énorme. - Tu prétends que je ne connais pas ton métier de putain ? Et je te réponds que tu ne connais pas ton métier d'amoureuse."La phrase était si claire que Charlotte la comprit."Amoureuse ? fit-elle en se penchant sur moi. Mais tu n'entends donc rien à tout ce que je te raconte ? Amoureuse de qui ? Amoureuse du cochon qui vient m'enculer trois fois par semaine et qui me fait avaler son foutre avant ma première communion ? Amoureuse de la vache qui a cinquante ans, qui est six fois grand-mère et qui frotte son cul sur ma petite figure ? Amoureuse du fou qui me chie sur le corps pendant que maman le suce ? Amoureuse du bandit qui me force à voir comment il fouette le con de ma mère, le con d'où je suis née et qui fouette ce con jusqu'au sang. Mais je sais comment te le crier : les putains comme les pucelles n'ont qu'un amour qui les console ; elles ne sont amoureuses que de leur doigt." Après un frisson, elle se ressaisit."Tu m'en fais dire plus que je n'en pense. Je n'ai pas le droit de les traiter de cochons, de vaches et de bandits, tous ces gens. Ils ne m'ont pas violée... Ce que je voudrais te faire comprendre... c'est que plus on est putain ...
    ... et plus on est vierge." Cette fois, je lui pris le visage dans mes mains, et les yeux sur les yeux je lui répondis : "C'est le plus beau mot que tu pouvais me dire." Qui ne le penserait ? Et ce mot-là, c'était Charlotte, corps et âme. Ses bons yeux me regardèrent sans rien pénétrer de ma pensée intime :"Pourquoi me fais-tu des compliments sur tout ? Mes cheveux, mes yeux, mes seins, mes poils... Ça ne vaut pas cent sous, mon chéri. Va au bordel, tu trouveras mieux. Mes fesses... tu as fait le bonheur de ma nuit quand tu m'as dit que j'avais de jolies fesses ; c'est évidemment ce que j'ai de mieux. Mais ne te fous pas de Charlotte ; n'admire pas les mots qu'elle dit… Les mots qu'elle dit, ce sont les sentiments qu'elle éprouve. C'est aussi que les putains parlent avec leur cœur, comme les jeunes filles du monde parlent avec leur con." La phrase était dite sans effet, comme une vérité bien connue ; mais je ne répondis rien ; j'étais humilié. Charlotte se croyait sans aucun esprit et chacune de ses répliques était plus intéressante que les miennes. J'avais plus de plaisir à l'écouter qu'à l'interrompre, et j'attendais la suite de son récit, quand elle s'écria, stupéfaite : "Comment, tu bandes encore ? - C'est de ta faute. - Qu'est-ce que j'ai fait pour ça ? - Tu m'as montré ces cheveux, ces yeux, ces seins, qui ne valent pas cent sous, dis-tu. On trouve mieux au bordel, n'est-ce pas ? - Et c'est moi qui te fais bander, sans que je te touche? - Je le crains. Je m'en plaindrai à ta ...
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