Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... de sa vulve et se trémoussa le torse en creusant les reins pour éloigner son visage. Et elle ne cessa plus de frémir. De la tête au ventre et jusqu'au bout des doigts, elle tremblait. Lentement, elle devint de plus en plus belle."La première série de sept va vite ; la seconde est lente ; la troisième n'en finit pas. Ce qui m'a le plus éreintée, c'est que j'étais dans un cabinet de restaurant où il n'y avait même pas de canapé. Trois heures la pine au cul sur le parquet ou sur la table, il y a de quoi tomber en faiblesse. Enfin, j'ai gagné le pari et Fernande l'a gagné aussi... Je lui ai… rempli jusqu'aux bords... Oh ! je te le dirai jusqu'à ce que tu cries ! Voilà ce que j'ai fait à quinze ans ! Je me suis fait enculer vingt et une fois de suite et j'ai empli de foutre une coupe de Champagne et je l'ai donné à boire et je l'aurais bu… Mais qu'est-ce qu'il te faut donc que je t'avoue pour que tu m'appelles salope ?" Elle retomba sur le lit, aussi faible et brisée que si elle venait de revivre son récit. Je crus qu'elle s'apaisait. Je répondis à voix basse : "Rien. Tais-toi. Dors. Je vais éteindre." Alors elle se souleva sur un coude et reprit, mais d'un ton si calme que je la laissai parler. Je ne soupçonnais pas ce que j'allais entendre. - "Connais-tu M... (elle me le nomma) qui est... (elle me dit son titre) à Aix ? L'avant-dernière année, j'avais dix-huit ans. Il m'a prise pour la première fois un soir de juin. Je le voyais vicieux. Il avait un grand chien avec lui. Je ...
... lui ai proposé de sucer le chien. - Charlotte ! - C'est mauvais, du foutre de chien et c'est fatigant à sucer parce qu'ils n'en finissent pas de décharger, les pauvres cabots ! mais j'étais habituée, va ! et dans le métier de putain un lévrier vous dégoûte moins qu'un magistrat. Malheureusement cet homme-là n'avait jamais vu son chien sucé par une fille et ça l'a tellement excité que, pendant quinze dimanches de suite, jusqu'à la fin de septembre…" Elle s'interrompit en secouant la tête avec un soupir comme si elle perdait le souffle.- "Je te demande pardon... Écoute... Tu ne peux pas te figurer… Il avait une maison de campagne avec une basse-cour... Le dimanche il donnait congé à ses gens..., même au jardinier... Il m'emmenait... Je restais seule avec lui... toujours à poil et mes cheveux sur le dos... C'était en été… Pour quoi faire ? L'amour ? Ah ! Non ! pas avec une putain ! II s'amusait le dimanche à voir une fille de dix-huit ans avaler le foutre de tous les animaux. En quelques jours un charpentier lui a dressé un cadre en bois de chêne comme ceux où l'on enferme les vaches et les juments pour la saillie. Mais lui, au lieu d'y mettre la femelle, il y attachait le mâle et, quand l'étalon ou le taureau était ligoté, je passais dessous... Pour les chevaux je n'avais pas la bouche assez grande, mais avec la langue et les mains…" Elle me vit pâlir et, obéissant encore à cette révolution astrale de son caractère qui, autour du mot "putain", passait régulièrement de la région ...