Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... plaintive a la zone exaltée, elle s'anima de phrase en phrase."Tu le sais bien que j'ai bu du foutre de cheval et du foutre d'âne, du foutre de taureau, du foutre de chien, du foutre de cochon. Au quatrième dimanche il m'a donné un bol où il avait branlé un a****l ! et j'ai bu ! et j'aisu dire que c'était du foutre d'âne. Je connais mieux les foutres que les vins. J'ai vidé plus de couilles que de bouteilles dans ma putain de vie. Et c'est rien que tout ça, même du foutre de cheval, pourvu qu'on n'avale pas de travers. On se met la tête par-dessus, tu comprends ? entre le poitrail et le membre. Comme ça on reçoit la douche sur le palais, pas dans la gorge, et on ne s'étrangle pas. J'avalais tout. Après, tu peux me croire, je n'avais plus soif. - Je t'en prie, tais-toi ! Cette histoire est pire que tout !- Oh ! Non ! ce qu'il y a de pire, c'est le foutre de bouc ! Je suis pourtant courageuse quand je me branle, mais... ah ! quelle infection que ce foutre-là. J'ai failli dégueuler, il a fallu que je crache. Alors, quand mon amant... je veux dire mon miché... a vu que le premier jour ça me rendait malade, il a voulu que son bouc serve tout de même à quelque chose et pendant quatre ou cinq dimanches, après que j'avais sucé l'âne, le taureau, le porc et les chiens, il me faisait monter par le bouc, moi toute nue à quatre pattes dans l'herbe du jardin… Tu ne veux pas m'appeler salope ? mais j'ai joui, tu m'écoutes ? J'ai joui pendant que le bouc m'enculait. Et j'ai fini par en ...
... boire... du foutre de bouc, les derniers dimanches. Écoute-moi... Regarde-moi... Je l'ai bu cinq fois, le foutre du bouc ! Pour me récompenser, son maître m'a acheté un singe qui m'enculait aussi et que je suçais comme un homme. Du 20 août à la fin de septembre, ce que j'ai pu faire, tu ne le croirais pas ! C'est alors qu'il s'est fatigué de me voir sucer le membre des mâles et qu'il a imaginé de me faire gousser les femelles. Il en avait trois : une chèvre, une génisse et une ânesse. Je leur faisais minette à genoux. Aussitôt après, il enfilait celle que j'avais léchée et il déchargeait, disant qu'il aimait mieux jouir avec une bête que de donner son foutre à une putain comme moi, mais que je pouvais le chercher avec ma langue, son foutre, dans le con de la génisse ou de l'ânesse... ou dans leurs trous du cul quand il les enculait. - Tu délires ! tu rêves ! tu inventes !- Sur la tête de maman, je te jure que c'est vrai ! Veux-tu la preuve ? Fais-le devant moi et je te dirai d'avance comment ça se passe. Tu sais que tu n'en sais rien. Est-ce que je le saurais, moi, si je ne l'avais pas fait cinq dimanches de suite ? Dans le con de la bête, le foutre s'enfonce, il faut le repêcher avec le doigt ; mais par le cul il sort tout seul. La langue suffit !...- Charlotte, je ne peux plus. Assez ! Assez !... Ne me dis plus rien ! Dors ! Couche-toi. Calme-toi !... Je ne sais comment te parler... Tu es folle, tu es belle, tu m'aimes, tu ne baises pas... Tu m'aimes et tu fais plus d'efforts ...