Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... force. Es-tu à plaindre ?" Pendant toute cette petite scène qui me sembla interminable, Teresa était restée vigoureusement immobile sur moi et moi en elle. Je pensais à tout autre chose qu'à lui répondre et, comme a sa dernière question je n'avais pas dit non tout de suite, elle se désaccoupla d'un bond aussi leste que celui sous lequel j'avais succombé. Puis elle recula nue jusqu'au fond de la pièce et rit de mon désir qu'elle avait changé en rut sans même commencer à le satisfaire. "Pardon, je ne te violerai plus !" dit-elle. Cette fois, je bondis, moi aussi. Certain de n'avoir pas affaire à une faible femme, je la maîtrisai d'une main et lui donnai de toute ma force une douzaine de coups de poing sur l'épaule gauche, avec d'autant moins de scrupule qu'elle ne cessa pas de rire tant que dura cette correction. Après, elle me regarda et, d'une voix joueuse, un peu essoufflée, qui la rajeunissait beaucoup, elle me dit : "Tu es plus gentil quand tu deviens méchant."Et, du même ton plein de gaieté, elle ajouta : "Monsieur bat les femmes ? Si Monsieur veut me donner des coups de fouet sur les fesses pour se redresser la queue, c'est vingt francs de plus." La phrase était de la plus basse ironie, car je ne laissais voir que trop l'exaspération de mon désir. Nous retombâmes sur le lit ; mais Teresa, plus adroite que moi, ne se laissa pas prendre malgré elle et lutta beaucoup mieux contre ma virilité qu'elle n'avait fait contre mon poing. Elle continuait de jouer, elle était ...
... pleine d'entrain et d'une jeunesse extraordinaire : "Ah ! me dit-elle gaiement. Tu m'as traitée de putain et tu voudrais me baiser ? Mais non, les putains ne baisent pas, elles ont la chaude-pisse. Laisse-toi faire, joli blond, je serai bien cochonne. - Bien. Continue ! fis-je en serrant les dents. - Regarde ! poursuivit-elle, jouant toujours son rôle. Regarde comme j'ai des poils sous les bras : je connais des femmes qui n'en ont pas autant sur le chat. Veux-tu faire l'amour là-dedans ? Tu jouiras bien !... Non ? Tu veux que je te donne mes tétons de putain ? - Encore cette scie! - Les voilà, mes tétons de putain. Mets ta queue entre les deux. Je les serre... C'est bon ? Ils font bien leur métier, mes tétons de putain ?… Écoute, mon bébé, tu me donneras cent sous d'avance et tu me déchargeras sur la figure ? Pas ? - Prends garde à toi ! Je vais le faire sans te prévenir ! - Tu aimes mieux jouir dans ma bouche ? C'est le même prix. Et je te ferai un joli travail avec ma langue autour du ventre. Tu aimes ça ? Je te lécherai les couilles, je te ferai feuille de rose et je te sucerai la queue après. Non ? Tu ne veux pas ? Tu dois avoir de la religion, toi. Tu as peur de dire à confesse que tu as déchargé dans la bouche d'une femme. Nous pouvons bien faire autre chose. Veux-tu que je te branle, petit polisson ?" Cette dernière proposition mit le comble à ma fureur et à la joie de Teresa. "Tu veux que je te tue ? - Oh! pour me tuer, c'est plus cher que pour me battre !" fit-elle en ...