Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... éclatant de rire. Décidé à en finir sur-le-champ, je pris à bras-le-corps Teresa et voulus lui forcer les cuisses. Sérieusement, cette fois, elle me cria : "Non ! tu ne me baiseras pas! - Parce que...?" Une colère subite lui monta aux yeux. Elle me saisit les bras et se mit àhurler :"Parce que chez toi, cette nuit, je ne suis pas une putain, m'entends-tu ? Quand une femme qui a envie de jouir frotte sa peau sur un homme qui bande, elle se donne par le trou qu'elle veut ! Et si j'ai plus de plaisir à me faire enculer et si je veux que tu m'encules, tu m'enculeras." Cette v******e de paroles aurait dû me faire perdre tout moyen physique de laisser à Teresa la liberté de son choix: mais la diablesse ne me donna pas le temps de m'intimider ni celui de songer à ce que j'allais faire. Son habileté de geste et de posture était un prodige. Elle me prit par où elle voulait et, pour la seconde fois, je me trouvai en elle sans savoir comment j'y étais entré. Aussitôt elle reprit sa voix la plus tendre, ses yeux les plus doux et me dit : "Ne me joue pas le tour de décharger ! - C'est tout ce que tu mérites pourtant. - Voilà. Une jolie femme vient lui donner son cul et tout ce qu'elle mérite c'est qu'après une minute on lui dise : "Fous le camp! Va te finir seule." - Une minute ! II y a une heure que tu me laisses dans l'état où je suis !... Je t'attendrai, mais... - Tu es un amour."Puis, sur le même ton, elle continua en souriant : "Tu me dégoûtes. - Toi aussi. - Je vais te dire ...
... maintenant pourquoi Charlotte et moi... - Non ! - Si... Je veux te le dire pendant que j'ai ta queue dans le derrière. La vérité, c'est que... nous étions aussi en chaleur l'une que l'autre. Mais, moi, ça se voyait moins. Tu ne l'avais pas vu ? - Peut-être. - Et maintenant ?" Je gardai le silence. Alors, tout à coup, changeant de voix par un de ces crescendos rapides qui annonçaient l'explosion de ses brutalités verbales, elle cria : "Et, maintenant, le vois-tu que je suis en chaleur comme une vache ? Le vois-tu que je suis venue chez toi pour te violer, que je me suis foutue à poil, que je me suis laissé traiter de putain, que je me suis laissé baiser, que je me suis laissé battre et qu'enfin je me la suis plantée où je voulais, ta queue ! et que je me branle dans tes bras plus que Charlotte, le vois-tu ?... et le foutre que je te donne, quand tu en auras plus sur les couilles que dedans, faudra-t-il te dire que je décharge ?"Trois Filles de leur MèreTome IICHAPITRE IX Monter une pareille femme est un exercice plus dangereux que de chasser à courre sur une jument qui devient folle. A tomber de cheval, on ne risque guère que de se casser un bras ou une jambe. Teresa donnait Je telles ruades, ou, pour parler plus juste, elle avait la croupe si fougueuse qu'elle manqua vingt fois de me rompre un membre plus précieux que n'est la jambe. J'eus si peur, que je me mis à penser avec une rapidité exceptionnelle, comme on pense à l'instant de mourir; et je pensais à tout à la fois, même aux ...