1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... quatre heures ? - Du matin ! - Du soir, malheureusement !" dit-elle dans mes bras. Au lieu de fuir, elle était venue se faire embrasser, avec une confiance qui rassurait la mienne, quand elle se dégagea d'un saut. Je ne pus la retenir dans ma chambre ni la rejoindre sur le palier. Elle trouva sa porte entrouverte, s'y glissa et disparut.CHAPITRE II Une demi-heure après, la mère entrait chez moi. Dès le premier regard mon roman se compliqua tout à coup. La mère était beaucoup plus belle que la fille. Je me rappelai son nom : Teresa. A peine couverte d'un peignoir serré qui tournait sur sa taille souple, elle refusa le fauteuil que je lui offrais, vint s'asseoir au bord de mon lit et me dit à brûle-pourpoint : "Vous avez enculé ma fille, monsieur ?" Oh ! que ces questions là me déplaisent et que j'ai peu de goût pour les scènes de ce genre. Je fis un geste noble et lent qui ne voulait rien dire du tout. Elle y répondit. "Ne protestez pas. C'est elle qui vient de me le raconter. Je vous arracherais les yeux si vous l'aviez dépucelée ; mais vous ne lui avez fait que ce qui lui est permis Pourquoi rougissez-vous ? - Parce que vous êtes belle. - Qu'est-ce que vous en savez ? - Je n'en sais pas assez." Moi aussi, j'allais au fait en peu de mots. Le départ prématuré de Mauricette m'avait laissé plus ardent que ne m'avait trouvé sa rencontre. D'ailleurs, avec les femmes, j'aime toujours mieux exposer ma science de la pantomime que mon aptitude à la discussion. Teresa ne put rien me ...
    ... dire de ce qu'elle avait préparé. Changer le parcours d'une scène périlleuse est la seule façon de la mener à bien. J'avais tourné le volant sans ralentir. Elle en perdit le souffle une seconde, quoiqu'elle fût plus forte que moi ; mais elle serra les cuisses avec un sourire. Avant que j'eusse rien touché, elle réussit à constater de la main les motifs que j'avais de choisir l'itinéraire ; et je lus dans ses yeux que mon brusque virage ne m'avait pas culbuté sous la disqualification. Cet échange de gestes mit entre nous beaucoup de familiarité. "Qu'est-ce que tu veux que je te montre ? Qu'est-ce que j'ai donc entre les jambes ? - Ton cœur ! répondis-je. - Tu crois qu'il est là-dessous ? - Oui. - Cherche !" Elle riait tout bas. Elle savait que la recherche n'était pas facile. Ma main s'égara dans un fouillis de poils extraordinaire où je fus quelque temps à perdre mon chemin. A la naissance des cuisses il en poussait comme sur le ventre. Je commençais à me troubler quand Teresa, trop adroite pour me démontrer que j'étais maladroit, ôta son peignoir avec sa chemise, pour me consoler ou pour me distraire, ou peut-être pour m'offrir un second prix d'encouragement. Un admirable corps, long et plein, mat et brun, tomba dans mes bras. Deux seins mûrs, mais qui ne semblaient pas maternels et que leur poids ne faisait pas fléchir, se pressèrent sur ma poitrine. Deux cuisses brûlantes m'étreignirent et comme j'essayais de… "Non. Pas ça. Tu me baiseras plus tard, fit-elle. - Pourquoi ? - ...
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