1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... Pour finir par là." Elle se vengeait. A son tour elle prenait la direction ; et la formule de sa mainmise était assez bien trouvée pour qu'en me refusant ce que je lui demandais elle parût me l'accorder avec un surcroît de sollicitude. Au silence que je gardai, elle sentit que son corps était maître. D'un ton nouveau qui m'interrogeait et ne m'offrait rien du tout, elle me dit : "Veux-tu ma bouche ou mon cul ? - Je veux tout toi. - Tu n'auras pas mon foutre. Je n'en ai plus une goutte dans le ventre. Elles m'ont trop goussée depuis ce matin. - Qui ? - Mes filles !" Elle me vit pâlir. L'image de Mauricette revint à moi toute nue avec les mots : "Je te donne maman." Je ne savais plus très bien ce que j'éprouvais. Une heure auparavant, j'avais cru que Mauricette serait l'héroïne de mon aventure. Sa mère m'enflammait dix fois davantage. Elle le comprit mieux que moi, se coucha sur mon désir et sûre de sa puissance, caressant des poils et du ventre ma chair éperdument raide, elle eut l'audace de me dire : "Veux-tu encore Mauricette? Elle a un petit béguin. Elle se branle pour toi. Tu avais envie de la retenir. Veux-tu que j'aille la chercher ? que je t'ouvre ses fesses ? - Non. - Mais tu ne connais pas Lili, sa petite sœur, qui est tellement plus vicieuse ! Ricette est pucelle et ne suce pas. Ricette n'a qu'un talent. Lili sait tout faire : elle aime tout ; et elle a dix ans. Veux-tu la baiser ? L'enculer ? jouir dans sa bouche ? devant moi ? - Non. - Tu n'aimes pas les petites ...
    ... filles ? Alors, prends Charlotte, ma fille aînée. C'est la plus jolie des trois. Ses cheveux tombent jusqu'aux talons. Elle a des seins et des fesses de statue. Le plus beau con de la famille, c'est le sien ; et je mouille pour elle quand elle ôte sa chemise, moi qui ne suis pas gousse, moi qui aime la queue. Charlotte... Imagine une très belle fille brune, molle et chaude, sans pudeur et sans vice, une concubine idéale qui accepte tout, jouit n'importe comment, et qui est folle de son métier. Plus tu lui en demanderas, plus elle sera contente. La veux-tu ? Je n'ai qu'à l'appeler à travers la cloison." C'était le diable amoureux que cette femme. Je ne sais ce que j'aurais donné pour la prendre au mot et pour lui crier : "Oui !" en pleine figure. Comme je serrais les muscles de ma volonté, comme j'ouvrais fa bouche et prenais baleine... Teresa me dit assez vite avec l'expression d'un intérêt sincère : "Est-ce que je te fais bander?" Cette fois, j'entrai en fureur. Sur un "Tu te fous de moi !" suivi d'autres paroles, je la battis. Elle riait de toute sa voix sonore en luttant des bras et des jambes. Désarmée par son rire, elle se défendait à l'aveuglette. Je la couvrais de coups et d'attouchements qui ne semblaient lui faire aucun mal; puis ce rire m'exaspéra, et, ne sachant pas où la prendre pour la battre, j'empoignai une touffe de poils, je tirai... Elle poussa un cri. Et comme je crus l'avoir blessée, je tombai dans ses bras avec confusion. Je m'attendais à mille reproches ; ...
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