Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... choses. Viens sur moi. Tu les devineras toute seule." Teresa l'aida bien un peu, en la laissant, comme par mégarde, sentir l'état de jouissance où elle était restée. Lili eut un cri de joie : "Oh ! c'est pour moi tout ça ? - Et ensuite ? Qu'est-ce que tu n'as pas eu aujourd'hui, petite gousse ? - Une pine dans le cul... Mais j'osais pas demander celle-là. - On va te la prêter. Tu me la rendras. Et après ; qu'est-ce que tu nous feras ? - La main par-dedans." Preste et plus serpent que jamais, Lili glissa le long du corps et se fourra la figure entre les cuisses de sa mère. La petite tête disparut dans ces longs poils noirs où ma main s'était plusieurs fois perdue. Teresa m'étreignit en se tordant sur une épaule, mais resta couchée par le bas, car elle avait la taille souple… Et il fallut l'entendre. Elle voulait parler. Elle me dit ces choses inimaginables dans un murmure égal, ardent, coupé de sourires :"Chut ! Écoute-moi bien. Je suis calmée à présent ; tu me croiras. Le voilà, mon vice. Le voilà, mon bonheur. Je suis allée dans mon bordel. J'ai pris au choix la petite putain que je voulais. Tu peux l'appeler putain, celle-là, comme Charlotte. Moi seule, tu n'as pas le droit de m'appeler putain. Et quelle putain ! Elle n'est même pas ma gousse ; elle ne m'a pas fait jouir ; elle vient lécher le foutre que j'ai fait pour toi. Hier c'était la même scène et ce n'était pas la même putain. J'ai déchargé pour ta queue dans la bouche de Charlotte, pour ta queue ! ta queue ! ta ...
... queue ! et tu ne l'as pas compris, puceau !" Que ce dernier mot fut adroit ! Elle sentit que je ne la suivais point, que Lili m'avait amusé, que je pensais trop à Lili ; et, d'un mot, elle changea la source de ma mauvaise humeur en m'exaspérant pour la troisième fois par ce nom de puceau. Cela dit, elle me ferma la bouche, doubla ses v******es de langage et mit un tremblement dans son murmure :"Pas une mère n'a fait boire autant de lait à ses filles que je leur ai fait boire de foutre. Celle-ci a dix ans, elle me tète encore. Pas mes tétons ! mes tétons, je te les donne pour te chauffer les mains, te caresser les couilles, te serrer la queue ! Si j'avais du lait dans mes tétons, je te le donnerais à toi, pas à elle. Regarde-la sucer, comme un petit chat qui tète sous le ventre d'une chatte ! Elle n'a que dix ans ! Combien d'années aurai-je encore sa langue dans le cul ? Charlotte me tète le foutre depuis vingt ans et elle n'est pas sevrée. - Crois-tu qu'il y ait une mère plus infâme que toi ? chuchotai-je à mon tour. - Dis-moi ça, tu m'excites. Je coule. Plus tu me le diras, plus ma fille aura de foutre à boire... - Est-ce que tu vas jouir, infamie ? - Non. Elle lèche tes restes, ma petite putain. J'étais inondée. Elle n'a pas fini ! Alors je suis une mère si infâme que ça ? tu es sûr ? il y en a tant d'autres ! - Les autres ont l'excuse de céder aux vices des hommes ; mais les scènes d'i****te que tu viens de faire chez moi, malgré moi... - Je suis pire qu'une putain, je sais. - ...