1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... Cent fois pire ! Tu es effrayante ! Tu es pire que les putains, les gousses, les maquerelles, pire que les michés eux-mêmes." Ici, Lili releva la tête et, sans avoir rien entendu de notre murmure, elle dit : "Non, mais qu'est-ce que tu as, maman ? Plus j'en suce et plus il en coule. - Stop ! Lili ! fit Teresa qui se ressaisit avec effort. Joue à autre chose. Fourre-toi du savon dans le derrière, essuie-toi la rigole des fesses et reviens t'asseoir là-dessus." Le ciel ne m'a pas donné un tempérament de voyageur. Aussi ne fus-je pas fâché quand Teresa me lâcha la bride après m'avoir maintenu par ses enchantements dans l'état que vous savez. Je l'avoue même à ces moralistes que je désespère de fléchir et qui vont encore me reprocher la scène suivante. J'étais content d'en finir. Mais, comme une fois déjà Mlle Lili avait commis à mon égard un outrage à la pudeur en venant "s'asseoir là-dessus", selon l'expression de sa mère, je la fis changer de posture. D'ailleurs, je me sentais las d'être couché. Sans me mettre en frais d'imagination, je plaçai la petite debout sur un tabouret, au bord du lit, le corps incliné en avant. Dans les histoires véritables, les postures sont toujours plus simples que dans les romans. "Tiens-toi bien ! fit Teresa. Tu as l'air d'une petite marchande de violettes qui monte sur son panier pour se faire enculer dans les chiottes d'un bistrot. - Et pour avoir l'air d'une petite princesse, comment faut-il se faire enculer ?" dit Lili. Elle s'y prit comme une ...
    ... enfant sage et redevint sérieuse à l'instant. Tournant la tête du côté où sa mère ne la voyait pas, elle me regarda par- dessus l'épaule avec une gentille expression des yeux et un petit baiser à peine dessiné. Cela signifiait : "Je ne te dis rien parce que maman est là." Mon regard lui répondit que nous nous comprenions; mais ce fut avec le même mystère, car plus les petites filles sont petites et plus les grands secrets sont grands. Notre dialogue silencieux fut bientôt, ainsi qu'on le pense, interrompu par Teresa qui ne dissimulait plus son excitation. Teresa me lança un sourire où je crus voir de la férocité, un sourire des dents plutôt que des lèvres, et elle me dit à l'oreille : "Te prostituer ma fille à dix ans, par le cul, ce n'est rien ! Ce qui m'échauffe, c'est de lui retirer ta queue et de... Écoute ! Écoute."Elle vint se coucher près de moi sur le flanc, au milieu du lit : "Ta langue, ma Lili, dit-elle. Lèche-moi le trou. Mouille-le bien. Écarte les poils. Prends la queue maintenant, ma gosse ! Encule-moi toi-même. Et dis ce que c'est qu'une petite fille qui fait enculer sa mère. Dis-le."Lili trouva deux réponses. Elle me chuchota dans un souffle : "C'est une enfant de putain."Et tout haut, à Teresa : "On voit bien que c'est une petite fille qu'on a faite avec le cul." La première réponse m'amusa si fort que je faillis oublier mon rôle et manquer mon entrée, malgré les bons soins de Lili régisseuse. Teresa n'entendit, je crois, ni la première ni la seconde. Comme ...
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