1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... notre amour, c'est qu'elles nous offrent avec lui tout leur amour qui vaut bien le nôtre pour ne pas dire plus. Donc j'avais prouvé à cette jeune fille qu'une imprudence nous séparerait à jamais et elle avait découvert un moyen de tout arranger. Moyen extravagant comme un théorème de géométrie dans l'espace, mais irréfutable à première vue, sinon par les principes de la chasteté que je ne pouvais plus sans audace ou plutôt sans ridicule invoquer à ma défense. Je répondis oui, avec tous les baisers de tendresse, d'empressement, de reconnaissance que chacun donne en pareil cas. Le calme des commentaires que je viens de prolonger ici par distraction (car cette histoire ne m'excite pas du tout, j'aime mieux vous le dire, et j'écris ces pages avec la même tranquillité que si je vous contais comment j'ai appris la grammaire grecque)... Je suis même si distrait que je commence une phrase sans pouvoir la finir, ce qui ne m'est jamais arrivé. Pour la beauté du fait, je ne la bifferai pas. Bref, très probablement vous avez oublié que nous avons laissé Mauricette en délire, Mauricette changée en bacchante, échevelée, pourpre, convulsive, crachant des injures atroces contre sa mère et des obscénités qu'elle n'eût jamais dites une heure auparavant. Mon "oui" changea de pôle son courant nerveux. Au contraire du philosophe antique dont parle Renan et dont le sperme était remonté au cerveau, le désir de Mauricette quitta son imagination et prit sa chair."J'ai envie de baiser, ...
    ... murmura-t-elle. J'ai envie de baiser parce que tu baises et que tu m'en donneras le goût. Est-ce vrai que j'ai avalé ton foutre ? Est-ce vrai que j'ai bu du foutre d'homme pour la première fois et que c'est le tien ? Qu'est-ce que c'est que baiser auprès de cela ?... Et n'aie pas peur de me faire mal ! Quand maman me fait minette, rien ne me fait souffrir, je ne sens que sa langue si je veux ; mais toi, plus tu me déchireras, plus je jouirai." Soudain, avec sa souplesse de métamorphose, elle releva la tête et me rappela d'un mot son âge véritable. "Veux-tu jouer ? - Oui ; mais pas à te dépuceler ? - Si. On va jouer à me dépuceler par où je ne suis pas pucelle ! Fit-elle en riant. - Quelle gosse tu fais ! Et quel rire tu as ! Comment! c'est la même Ricette qui vient de me raconter ces histoires de sang, de sperme, d'i****te, de saphisme, de sadisme... - Oh ! et quoi encore ! En voilà des mots à septante-cinq centimes, comme disent les Belges ! - Tu as quatorze ans et demi ? Non. Il y a des minutes où tu as trente- neuf ans et d'autres où tu en as sept. - Maman aussi. " Cette réponse me laissa muet. C'est un des mots les plus justes et les plus extraordinaires que j'aie entendus. Il me parut que Ricette pensait: "Tu es plus gosse que moi, sinon tu saurais bien que c'est vrai pour toutes les femmes et quel que soit leur âge." Elle le pensa, mais ne voulut pas le croire, car les jeunes filles n'aiment guère à s'imaginer plus sages que leurs amants. Toute excellence qu'elles leur prêtent est ...
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