1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... même une excuse qu'elles se donnent de se laisser entraîner par tant de perfections. Et, sûres de s'en parer à leurs propres yeux, elles nous couvrent de qualités pour le seul plaisir d'être généreuses. Cela dit, Mauricette reprit son idée : "Tu m'auras pris deux pucelages sur trois. J'aurais voulu te donner aussi le troisième... ou le premier… celui que je n'ai plus... celui que j'ai laissé vendre... enfin le pucelage de mon derrière... tu comprends le français ? - Et tu veux le refaire ? avec de l'eau d'alun ? - Oh ! Maquerelle ! fit-elle en riant. Ne crois pas que mon pucelage de devant soit refait. Les pucelages raccommodés, on les vend très cher ; on ne les donne pas." Et elle rit aux éclats sur ce qu'elle venait de dire. Puis, se frottant à moi de tout son jeune corps, elle remonta en quelques mots jusqu'à un état moyen entre la gosserie et la lasciveté : deux mots presque synonymes."On va jouer. Oublie que tu m'as enculée avant-hier. Oublie-le.- Je ne m'en souviens plus du tout.- Je suis une gosse toute seule. Maman n'est pas là. Je ne sais rien, pas même ce que c'est qu'une queue. Toi, tu es un satyre et tu vas me violer par le trou du cul.- Te violer ?- Veux-tu jouer comme ça ? ou me répondre zut chaque fois que je te fais une proposition ?... Je dis "zut" parce que je suis putain. Si j'étais une jeunefille du monde, je dirais que tu me réponds merde.- Ma Ricette chérie, fis-je en riant, ne me dis pas que tu es putain maintenant. Jamais je n'ai mieux compris ton ...
    ... petit tempérament de miché. Tu es vicieuse comme un vieux magistrat. Mais, moi, je suis incapable de violer une femme. La résistance me glace au lieu de me tendre. Jouer à violer… ce n'est qu'un jeu... Essayons... mais si je te rate ? j'en serai désespéré, tu m'en voudras et tu...- Mais elles ne résistent pas, les pucelles qu'on viole ! fit Mauricette qui s'énervait. Je ferai comme elles, je ferai semblant de pleurer sur mon bras et j'ouvrirai les fesses.- Et à quoi sentiras-tu que je te viole ?- A quoi je le sentirai ? dit-elle en serrant les dents. Jamais je ne me suis fait enculer à sec ; tu vas me le faire et tu me demandes à quoi je sentirai que tu me violes ? A quoi je pourrai m'imaginer que tu me dépucelles ?- Alors, répète-moi que tu le veux ! que c'est ton plaisir ! Sinon, je te jure que je ne pourrai pas.- Je le veux ! je le veux ! je le veux ! fit-elle doucement les yeux grands ouverts. Viole-moi par le cul ! et plus je te crierai que j'ai mal, plus ça voudra dire que je t'aime !" II m'est plus que pénible, vraiment, de raconter la scène suivante avec détails. Je ne le puis. Elle me fait honte. Je n'avais à aucun degré le vice que Mauricette me demandait de satisfaire. Il m'était arrivé de battre les femmes qui veulent être battues, mais ce n'est rien, ce n'est rien, auprès du souvenir que cinq minutes d'égarement… Bref, quand j'eus "violé" Mauricette, je sentis par la chair mieux que je n'avais compris par la pensée combien le plaisir et la douleur étaient nécessaires ...
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