1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... qu'est-ce qui sera juré si je te la donne ? - Je ne sais pas du tout. Dis-le. - Tu ne vas pas faire un enfant à cette enfant-là ? Elle décharge comme une enragée. Ça prendrait du premier coup, tu m'entends ? Gare à toi, j'aurai la figure dessous et si tu lui lances une goutte de foutre, je te châtre. - Ne fais pas ça. Je jure d'être sage. - Alors, où te finira-t-on ? - L'embarras du choix... - Ma bouche ? voilà une occasion. - Ah ! cria Mauricette. J'en étais sûre ! C'est parce qu'il aura la queue toute rouge de mon sang ! c'est pour ça ! je lui avais bien dit que tu n'en perdrais pas une goutte ! que tu fourrerais ta langue dedans ! que tu aurais la bouche pleine de sang et de foutre ! - Hein ? crois-tu qu'il est temps de la dépuceler ? me dit simplement Teresa. - Oh ! oui, qu'il est temps ! répéta la petite. Maman, laisse-moi lui dire un mot pour lui tout seul." Pour être plus sûre de me parler en secret, Mauricette m'entraîna dans une autre pièce et ferma la porte. Si nous nous embrassâmes, je le laisse à penser. "Ma nuit de noces ? dit-elle gentiment. - La mienne aussi. - Tu m'aimes bien ! Je t'aime tant! - Je t'aime de tout mon cœur. - Tu vas me faire mal ? - Mauricette ! - Dis-moi que tu me feras plus mal qu'hier ! plus mal qu'hier ! Enfonce tout ! Déchire-moi ! fais-moi saigner comme un bœuf !" Elle allait continuer sur ce ton, peut-être, quand la porte s'ouvrit. Teresa reparut et, comme si elle avait entendu la première phrase de Mauricette : "Ne vous excitez ...
    ... pas, mes enfants ! dit-elle. Je ne vous marierai qu'à minuit. - Oh ! Pourquoi ? fit Ricette avec colère. - Et vous êtes vraiment aussi gosses l'un que l'autre si vous ne devinez pas pourquoi !" Comme mon éducation lui importait moins que celle de sa fille, ce fut à Ricette qu'elle s'adressa :"Comment! une grande fille comme toi, tu ne réfléchis pas qu'au premier coup les hommes se retiennent moins bien qu'au second ? Et tu crois qu'on va te dépuceler comme on passe à travers un cerceau de papier ? Depuis le temps qu'on t'y fourre les doigts, penses-tu que tu serais encore pucelle si je ne t'avais pas fait un pucelage en cuir, comme le trou du cul ?" Ricette rougit, piquée de recevoir une leçon devant moi ; mais Teresa n'avait pas fini. - "Qu'est-ce qui arrivera si je vous laisse faire ? Ou bien après cinq minutes d'efforts il jouira dans tes poils et tout sera manqué. Ou bien il sera tellement énervé de se retenir qu'au moment où il entrera... Tiens ! Ah ! Tiens ! tout pour toi !... Je lui couperai les couilles, mais trop tard. As-tu compris ?" C'était le langage de la sagesse avec un vocabulaire qui, pour n'être pas celui des sermons, avait néanmoins de la force et même une certaine éloquence. En criant ce : "Tiens ! Ah ! Tiens !" Teresa ignorait sans doute qu'elle introduisait une prosopopée dans son discours, mais il n'est pas nécessaire de connaître par leurs noms les figures de rhétorique pour les mettre comme Bourdaloue au service de la persuasion. Fut-ce l'apostrophe, ...
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