1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... l'installation venait d'être terminée. Je traversai le palier à dix heures du soir. La mère et les filles me reçurent toutes nues, ce qui me donna moins d'étonnement que d'embarras. Connaissez-vous une situation plus digne de pitié que celle d'une jeune homme chambré par quatre femmes auxquelles il a dit "Je t'aime" et qu'il ne peut aborder avec une respectueuse et lointaine déférence par cette raison que leur nudité l'invite à quelques approches ? Quand je les eues embrassées toutes avec divers attouchements que la morale chrétienne réprouve mais que les femmes nues accueillent assez bien, Teresa prit Mauricette par les épaules et, avant toute autre question, elle me dit : "C'est vrai que tu as réussi à te faire sucer la queue par cette gosse- là ? et que tu lui as déchargé dans la bouche ? et qu'elle a tout avalé ? Elle qui n'avait jamais pu ! Est-ce que tu es sorcier ? - Non ; mais c'est plus facile avec elle qu'avec Votre Altesse, madame." Mauricette fut ravie de cette réponse, et Teresa, les mains sur les hanches, reprit avec bonne humeur : "Voilà ce que je me fais dire ? à moi qui ai sucé trois mille hommes dans mon existence ! - Pas celui-là! dit Lili. Tu es la seule de la famille qui ne connaisse pas le goût de son foutre. Même Ricette ! même Ricette l'a sucé avant toi! ça, c'est épatant ! - Et tu veux me dépuceler cette enfant ! poursuivit Teresa. - Oh ! Là ! Là ! cette enfant, répéta Lili. Si j'avais autant de poils au ventre qu'elle en a entre les fesses... - ...
    ... Ta gueule, toi, blanc de bidet ! C'est sérieux de prendre un pucelage. Regarde Charlotte, si elle a envie de rire." Et Charlotte qui retenait ses larmes se jeta sur un divan pour pleurer. Je pris cette occasion de la rejoindre et de lui dire quelques mots affectueux. Elle était si pitoyable... Mais Teresa m'interrompit :"Laisse donc ! tu ne connais pas Charlotte. Quand elle aura fini de pleurer elle se branlera et quand elle aura fini de jouir elle aura envie de pleurer. C'est comme ça du matin au soir, je crois qu'elle jouit des larmes et qu'elle pleure du foutre. Mais tiens ! mais tiens ! qu'est-ce que je disais ?" Et en effet Charlotte, essuyant ses larmes de la main gauche, avait déjà la droite entre ses cuisses. Au mot de sa mère, elle ouvrit les yeux, vit les nôtres fixés sur elle et dit en se relevant : "Oh! si vous me regardez tous…" Mollement, elle glissa la main dans un tiroir, y prit deux godemichés qu'elle se planta l'un après l'autre par-devant et par-derrière, puis recouchée sur le divan, mais les cuisses très écartées, elle remit son doigt en mouvement, et dit avec un triste sourire aux lèvres : "C'est plus curieux maintenant ?" On la laissa tranquille. Teresa reprit Mauricette par les épaules, lui arrangea les cheveux et lui redressa la taille comme si elle l'offrait à un riche amateur, et elle répéta : "Tu veux me dépuceler cette gosse qui a quatorze ans ! - Oui, c'est juré entre elle et moi. Nous avons une dispense de l'archevêque. - Mais entre toi et moi ...
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