1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... dos. - Crois-tu que je saurai ce que je fiche, à ce moment-là ! - Allons ! Allons ! regarde d'abord comment je m'y prends et quand ce sera ton tour je saurai bien te guider." L'obscénité avec laquelle Teresa ouvrait sa croupe en levrette m'était déjà bien connue. Levrette est vraiment trop peu dire. Le mot d'ourse conviendrait mieux. Elle n'était que poils par-derrière. Comme elle avait les fesses très très belles et les cuisses fort bien dessinées, on n'osait lui faire mentalement le reproche d'être plus velue qu'une autre femme, et, n'eût été l'impudence de sa posture, on se serait figuré que plutôt elle imposait son esthétique. Malgré la réserve et la modestie de mes exercices amoureux comme de mon langage mes scrupules de moralistes ne vont pas jusqu'à m'interdire de baiser une mère sur sa fille et de déflorer ensuite la fille sur la mère. Je ne l'ai fait qu'une fois, mais je le recommencerai volontiers si l'occasion s'en présente. Parlerai-je pour un instant à la jeune fille qui tient ce livre et lui dirai-je comme eût dit Mauricette :"Je ne vous choque pas, mademoiselle ! Si votre mère a trente-six ans, si elle est belle, si vous l'aimez assez pour lui faire ce que vous faites à vos petites amies, vous comprendrez la scène suivante... Et si vous êtes une ingrate, si vous n'avez jamais donné du bout de la langue un frisson de plaisir aux chairs qui souffrirent tant pour vous mettre au monde, rougissez de vous et non de ce que vous lisez." J'acceptais donc Teresa sur ...
    ... Mauricette et même sous elle. Son rôle ne me paraissait vraiment ni superflu ni désagréable... Mais deux rôles que j'eusse coupés si j'avais inventé cette histoire, c'étaient ceux de Lili et de Charlotte. Elles ne servaient à rien ; Charlotte me troublait par son émotion, Lili par son petit rire et toutes deux ensemble par leur bavardage, leur curiosité, leurs conseils ou simplement par leur présence. Je les aurais voulues au diable pour un quart d'heure. Dessinons tout d'abord le groupe tel qu'il se forma. Ricette couchée sur le dos, Teresa enjamba son visage et tête-bêche avec sa fille elle s'offrit à moi dans la posture ouverte que j'ai décrite un peu plus haut. Le saphisme double et simultané n'est pas apprécié de toutes les lesbiennes. L'homme qui baise peut seul donner la volupté en goûtant la sienne sans perdre la tête. Aux approches du plaisir, la femme est incapable de diriger le spasme qu'elle voudrait donner en échange. Aussi, de deux amies qui se placent tête-bêche, il n'y en a qu'une qui jouit ; mais, comme le cœur des femmes damnées est semblable au cœur des saintes, la lesbienne qui fait jouir et qui ne reçoit rien est la plus heureuse des deux. Une autre nuit, et dans une telle posture, la langue de Teresa eût mis en une minute Mauricette hors de combat. Cette fois, rien ne pressait, tout au contraire. Teresa ne donna que de vagues baisers et laissa Ricette en pleine possession de ses facultés actives. J'attendis… La petite écartait des deux mains les poils et les ...
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