Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... lèvres ; elle relevait la tête avec effort, précipitait et appuyait sa langue autant que possible pour hâter le moment où elle me dirait... car ce fut elle-même qui me dit : "Viens, maintenant." Les larges gouttes de pluie qui annoncent l'orage commençaient à pleuvoir sur les joues de Mauricette. Quand je me présentai, Lili ne put se retenir de répéter tout bas : "Oh ! maman qui baise !" Je m'introduisis facilement, ne craignant qu'une chose : que la fougue de Teresa ne me laissât pas maître de moi. Mais Teresa n'oublia pas un instant... qu'elle n'était pas là pour s'amuser et qu'elle se faisait maîtresse de postures. Aussi donna-t-elle le pas à la pédagogie sur le divertissement. Le tout dans son style ordinaire :"Tiens, ma gosse ! regarde comme je te le donne ! L'as-tu, mon bouton ? L'as-tu ? Tu vois bien que les couilles ne te gênent pas et que ta langue me touche... Tout à l'heure tu feras comme moi, tu iras au-devant de ma langue et tu ne bougeras pas, m'entends-tu ? Si je ne me retenais, en ce moment, je donnerais des coups de cul partout et je perdrais ta langue comme je voudrais. J'ai une envie de décharger qui me coupe le derrière en quatre et une salope de queue qui se trompe de trou... qui me baise... Mais tiens... tu vas voir si je ne suis pas foutue de jouir sans bouger…" En effet, elle resta frémissante et à peu près immobile. Mauricette fut inondée. Moi aussi ; mais je pus me retirer sans avoir perdu ce qui était nécessaire à la seconde partie du programme. ...
... Cela est assez curieux : cette seconde partie intéressa tout le monde plus que moi et mit les quatre femmes dans un état d'excitation que je ne pus atteindre, moi qui étais pourtant le mieux partagé. Charlotte et Lili se pressaient pour voir, parlaient sans cesse et devenaient bien importunes. Mauricette, pourpre et agitée, s'essuyait le visage que sa mère avait trempé, mais non pas de ses larmes. Elle était doublement émue, étant deux fois débutante par l'acte qu'elle allait tenter de réussir et par le spectacle qu'elle en donnait. "J'ai le trac et j'ai envie de jouir, dit-elle, j'ai peur de rater. - Au contraire, dit Teresa ; plus tu auras envie de jouir et mieux tu réussiras. Pour te regarder je ne peux pas te faire minette ; mais veux-tu que je te branle ? - Oui, maman. - Et, si tu veux m'en croire, laisse-toi foutre en chaleur, petite sauvagesse, avec un peu de moutarde par le trou du cul. - Oh ! fit Ricette en levant les yeux au ciel. Je serai folle... Alors ne me branle pas... Touche-moi seulement... Ne me fais pas jouir avant lui surtout !... Tu me branleras quand je te ferai signe…" Elle tourna sur elle-même et, pendant que sa mère quittait la pièce, elle se jeta tendrement dans les bras de sa sœur aînée avec un : Oh ! Charlotte ! Charlotte !" qui semblait lui demander toute son indulgence et son encouragement. Tout cela et le reste, Charlotte l'eût donné pour rien ; mais Ricette voulut le mériter. Après un baiser langue à langue, elle lui dit : "Ma Charlotte ! un petit ...