Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... je jouisse après vous ?- Après nous ? mais tu l'avais fait avant ! Ricette a eu un godemiché dansle derrière ? toi, tu t'en es planté deux ! par les deux trous ! parce que tu n'as que deux trous ! Si tu avais cinquante trous dans le cul, il te faudrait cinquante godemichés tous les quarts d'heure, salope !" Charlotte cessa. Elle ne pleura point et ne répondit plus ; mais elle reposa son coude sur son genou et son front dans sa main ; attitude de l'accablement. Je souffrais plus qu'elle, oui, plus qu'elle, de ce que j'entendais ; et je compris d'un mot quand, au mouvement que je fis pour me lever, Ricette me retint des deux bras et me dit à l'oreille : "Tais-toi donc ! ça l'excite." Mais j'étais debout malgré ce geste et de la main et du regard, j'arrêtais la scène. Teresa me fit taire a mon tour, sans prolonger pourtant ce que j'avais tant de peine à entendre. "Dis-le donc, dis-le toi-même devant ta sœur qui est pucelle. Qu'est-ce que tu es ? - Une pauvre putain. - Pourquoi es-tu à poil comme une fille de bordel ? Est-ce que tu n'es pas au-dessous des filles de bordel ? - Oh ! Si ! Elles ne font pas ce que je fais ! - Alors, va donc avec Lili. Mets ton costume de pierreuse et reviens. On te parlera. - Moi aussi !" cria Mauricette. Je ne comprenais plus. Mais pendant que Charlotte sortait, lente et triste à son habitude, Ricette m'entraîna de toutes ses forces au fond de la chambre et me dit, la bouche en avant :"Ha ! qu'est-ce que maman m'a fourré dans le cul ? C'est du feu ! ...
... Je suis enragée ! Je vais faire ma toilette et je reviens pour toi, mais il faut, il faut ! il faut que tu m'encules! tu me dépucelleras plus tard. Je vais revenir avec Charlotte, nous ferons vite une scène, joue ton rôle, appelle-la putain et prends-moi. T'as compris ?" Singulière constatation : plus je les connaissais, moins je les comprenais, cette femme et ses trois filles. Restée seule avec moi, Teresa vint me parler. Je crus qu'elle allait m'expliquer mon rôle, mais elle avait bien autre chose en tête. "Lili a raison, dit-elle. Jouir dans la bouche de Mauricette, c'est plus épatant que de la dépuceler. Quel foutre est-ce que tu as pour qu'elle l'avale si bien ?" Du corps et des lèvres, Teresa devenait plus pressante encore que de la voix et, comme elle était loin de refroidir mes sens, je répondis en l'embrassant : "Demande à tes filles. Elles en ont bu toutes les trois. - Quelle bouche aimes-tu le mieux ? - La tienne." Et je ne mentais pas. Je la préférais d'avance comme si je l'avais éprouvée. Teresa pourtant eut un sursaut a cette réponse. Je craignais à tout instant de voir la porte s'ouvrir, et, surtout pour ne pas continuer sur ce ton, mais aussi pour l'interroger en quelques mots, je lui dis rapidement : "Qu'est-ce qui va se passer ? Qu'est-ce qu'elles font ? - Je m'en fous !" dit Teresa en me donnant ses lèvres. Cela tournait court. Je la ramenai au sujet d'un ton suppliant. Après une minute de silence où je craignais tout le temps un de ces crescendos que j'ai ...