Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... comprenez pas ? - Elle ne vous a pas dit autre chose ?- Si. En m'embrassant sur la porte elle m'a dit : "branle-toi pendant qu'on t'encule, ne demande pas à ton miché où c'est qu'on chie le foutre dans ce bordel-là ; mais fais-t'en seringuer, ma gosse, depuis le derrière jusqu'à la gueule, décharge dans ta chemise, dégobille dans le piano, pisse dans la carafe, gagne tes cinquante francs par le trou du cul et surtout ne dis pas de gros mots."... Vous comprenez pas encore ? - De moins en moins. Votre pudeur, mademoiselle... Ce trouble qui rend vos paroles confuses…" Je devenais taquin et deux fois odieux ; car Mauricette jouait fort bien. Si joyeuse qu'elle fût de cœur et d'esprit, je la vis sur le point d'avoir une colère instantanée. Je n'eus que le temps de lui dire en me touchant le front : "Ah! j'ai compris ! - Miracle de sainte Mauricette ! soupira-t-elle avec patience. - Ce losange, on peut le lever ? - Tu parles ! - Et regarder ce qu'il y a dessous comme chez les petites filles de La Rochelle ?" Non, non c'était fini. De mes lèvres sur sa bouche, je l'empêchai de répondre. Mes taquineries étaient moins drôles que son jeu et je ne les avais prolongées que pour m'amuser plus longtemps à l'entendre. Je craignais qu'au premier contact elle ne cessât toute comédie mais l'amour du théâtre chez les jeune filles est presque aussi fort que le plaisir des sens et pendant quelques minutes Ricette put soutenir son rôle d'ingénue en cabinet particulier. "Voyez, monsieur, ...
... dit-elle, la différence qu'il y a entre le vice et la vertu. Les femmes éhontées qui dansent le nu ont un cache-sexe par-devant. Les pucelles tout habillées ont un petit losange qui se lève par-derrière. (Et elle rit de tout son cœur sur la dernière syllabe). - Je connais bien mal les secrets des jeunes filles et j'ai peur de ne pas... - Alors, monsieur, laissez-moi faire. Maman me l'a bien répété : "Si ton client est un con, tu sais t'y prendre ; encule-toi !" Elle riait de plus belle ; mais cette fois elle avait passé la mesure. Je n'aime pas ce genre de plaisanteries et l'on m'objecterait en vain qu'une vierge de quatorze ans a droit à quelque indulgence pendant qu'on la sodomise. Ricette reçut, pour le principe, les deux ou trois petites gifles qu'elle méritait. Et alors... (J'ai oublié d'écrire ce détail : la chambre était vaste. Teresa, Charlotte et Lili se groupaient au fond sur le divan. Nous jouions loin d'elles, comme au théâtre, et Mauricette pouvait me parler sans être entendue de l'assistance...) Elle cessa de rire, tourna la tête et me dit ardemment mais tout bas : "C'est ça que tu appelles des claques, Ta queue me fait plus de mal que ta main. Recommence. - Mais non ! - Si. Écoute que je t'apprenne, tout bas. Rappelle-toi ce que tu as fait à maman sans le faire exprès. Prends-moi les poils, on n'y verra rien, tu auras l'air de me branler... Non, pas ces poils-là... plus bas... ceux des lèvres... oui… tire... tire-les... tire donc!... mais tire donc! je vais jouir…" Et ...