Cette chère belle-sœur
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
fplusag,
fête,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
fouetfesse,
... couvrait encore légèrement un sein. Il m’empoigne alors les nichons à pleine main, mains bien petites pour les saisir dans leur totalité. Je recommence à gémir, c’est bon, je ne serai donc jamais rassasiée ? Ses mains malaxent ma chair alors que sa bouche dévore mes mamelons. Je suis le dos en appui sur la balustrade, la bouche ouverte les yeux mi-clos en train de me faire dévorer sur pied. La présence de Sylvie me revient à l’esprit, j’ouvre les yeux, elle est toujours là, derrière le laurier. Les yeux brûlants, elle me regarde en train de jouir. Elle se caresse la poitrine à travers sa robe, ses mains martyrisent ses lourdes mamelles, elle aussi a la bouche ouverte, elle a besoin de moi. Je repousse doucement mon amant, j’insiste car il ne veut rien entendre. Il me regarde étonné et, comme il s’apprête à ouvrir la bouche, je lui pose un doigt dessus et le repousse dans sa chambre de mon autre main. Je vois que sa vigueur est revenue mais une fois le seuil de sa fenêtre franchi, je referme les volets devant lui, il finira tout seul derrière son écran. Sylvie est couchée sur mon lit lorsque je pénètre dans ma chambre, elle a retroussé sa robe sur son ventre arrondi. Le vêtement ajusté, et relevé en une bande étroite, lui serre la taille faisant ressortir deux bourrelets sur ses hanches. Je sais très bien ce que j’ai à faire, elle aussi est à point et a eu sa dose de préliminaire pour l’amener là où elle veut aller. Lorsque je m’agenouille sur le lit, elle écarte ses cuisses, ...
... mais je n’ai pas besoin qu’on me guide pour connaître le chemin à prendre. Une chatte bien lubrifiée m’accueille, les premiers coups de langue sur ses lèvres gonflées déclenchent déjà un râle profond. Je mordille, suce ses petites lèvres, je sens sa mouille m’inonder la face. En même temps mes mains caressent son ventre rond, Sylvie, elle, est en train de se débattre avec le haut de sa robe pour en extirper ses seins. Un craquement m’indique que le tissu n’a pas résisté à la maltraitance. Tant pis pour la robe mais les lourdes mamelles de Sylvie sont à l’air et elle les malaxe avec énergie alors que je me déchaîne entre ses cuisses. J’introduis un doigt puis deux, tellement je rentre comme dans du beurre dans son sexe, trois maintenant. Je pompe à l’intérieur tout en focalisant ma lèche sur son clitoris. Cela fait certainement un moment mais les petits cris de Sylvie me parviennent aux oreilles. Ils sont de plus en plus rapprochés, un long gémissement me vrille les oreilles, son corps se contracte, ses mains empoignent mes cheveux, elle jouit. Peu après, quelques dizaines de secondes peut-être, elle me fait relever la tête en me tirant sur les cheveux et me dit le regard dans le vague et brillant à la fois : — Branle-moi avec ta chatte !— Ma chatte ?— Oui ! Ta chatte de chienne, branle-moi avec ! Je comprends ce qu’elle veut, nos jambes s’enchevêtrent pour que nos sexes puissent rentrer en contact, sa mouille se mêle à la mienne. En appui sur mes bras, j’ondule du bassin pour ...