Cette chère belle-sœur - Histoires de Sexe

Cette chère belle-sœur

... reste. Des allusions du genre « Sylvie, avec vos formes, vous devriez mettre quelque chose de plus ample, gna, gna gna… ». Quelle conne ! D’ailleurs ça me donne une idée.— Une idée ?— Oui et ça va te plaire, telle que je te connais, répond Sylvie en reprenant ce regard pervers que je commence à reconnaître, tu vas t’habiller comme je te le dirai pour ce soir.— C’est-à-dire ?— C’est-à-dire la tenue que tu adores le plus porter. On ira jeter un œil à ta garde-robe. Je suis sûre que tu as ce qu’il faut, dit-elle sur un ton autoritaire.— Si cela peut te faire plaisir et t’amuser, dis-je en voyant bien que je n’ai pas vraiment le choix. Vers 18 heures, Sylvie m’entraîne dans ma chambre afin de me préparer pour la soirée. En ouvrant ma penderie elle dit : — Voyons ce que tu as là-dedans ?— Vas-y fouille, je me doute que tu cherches quelque chose de léger ?— Tout-à fait, la burka ne te va pas bien.— Je suis bien d’accord. Sylvie étale les nombreuses robes, jupes et autres que j’ai amenées dans ma grosse valise. Fort heureusement, je n’avais pas lésiné sur la quantité, toutes les femmes sont les mêmes dans ce domaine, on a toujours peur de rien avoir à se mettre. Elle jette son dévolu sur une petite robe courte. — Mets-moi ça, elle est toute mimi cette robe, elle doit t’aller comme un gant. Je vais me changer aussi, je reviens.— Ok, je l’aime beaucoup cette petite robe, tu as raison. Sylvie disparaît de ma chambre et j’enfile la fameuse robe. Elle est rouge avec un grand ...

... décolleté en V qui part des épaules et finit entre les seins, un peu en dessous. Pour le bas, elle est, bien sûr, courte avec des volants s’arrêtant à mi-cuisse. Sa particularité est d’avoir un large bandeau élastique noir qui serre et moule la taille et remonte assez haut sous la poitrine faisant bouffer le décolleté. Sur la partie basse, le tissu part en s’évasant pour former une sorte de jupette courte. Je suis en pleine séance d’admiration devant le miroir lorsque Sylvie réapparaît. Elle porte aussi une robe légère de saison, aux nuances mauves, près du corps, mais bien plus sage que la mienne malgré tout. Une grande encolure en rond laisse voir la naissance de sa poitrine. Seule une fente coupant le tissu le long de la cuisse donne un peu de fantaisie à la robe qui s’arrête au-dessus du genou. — Montre-moi ça, me dit Sylvie à peine à l’intérieur.— Voilà, dis-je me tournant vers elle et écartant le bras en prenant la pose.— Tu es magnifique mais attends, j’ai une ou deux retouche à faire, tourne-toi.— Vas-y ! Fais-toi plaisir. J’exécute l’ordre et lui présente mon dos. Je sens le haut du V de ma robe glisser sur mes épaules, descendre le long de mes bras et je me retrouve en soutien-gorge. Des doigts s’activent alors sur l’attache dans mon dos, quelques secondes suffisent pour que je sente mon 95 D, ou E, cela dépend des marques, se relâcher et disparaître de mon buste. — Voilà, tu es bien mieux comme ça. Avec les seins que tu as, c’est dommage de les laisser en prison dans un ...