1. Les deux font la perversité


    Datte: 20/07/2021, Catégories: ffh, hplusag, intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, bougie, init, prememois, Inceste / Tabou fbi,

    ... l’adolescente toujours en jogging sur le bord du terrain pour nous encourager. Non, en ce début d’été, celui de ses 20 ans, elle devenait une jeune femme qui découvrait son corps et se sentait bien dans sa peau. Mais elle restait innocente et ignorait encore la portée du pouvoir qu’elle s’apprêtait à posséder sur les hommes. — J’ai prévenu tes parents que tu te joignais à nous, ça leur fait plaisir. Ça fait un moment que vous ne vous êtes pas vus ?— À part le dimanche sur le bord du terrain, je les vois rarement. Mais j’ai joué quelques matchs avec ton père au début de ma ’’carrière’’. Il terminait la sienne.— Moi aussi, je suis contente que tu passes un peu de temps à la maison. Je te connais depuis longtemps et je t’aime bien parce que tu es gentil et bien élevé. Pas comme autres gars lourds de ton équipe.— Oh, ils sont pas tous comme ça, dis-je en me demandant intérieurement si elle ne venait pas de faire une tentative d’approche. Moi aussi, je t’aime bien, mais c’est normal ; je t’ai vue grandir, tu es un peu la mascotte de notre club. J’espérais ne pas avoir été trop cassant, mais je voulais garder un peu de distance avec elle. Nos dix ans d’écart me paraissaient trop importants pour qu’il se passe quelque chose entre nous. Et puis les ragots dans notre dos autour du stade, non merci. Je garai la voiture et entrai dans la propriété à la suite d’Angélique en me demandant si j’avais bien fait de venir. Qu’avait-elle derrière la tête ? Lui avais-je envoyé des signaux à mon ...
    ... insu ? Ses parents m’accueillirent, interrompant mes réflexions et mes doutes. Le repas fut copieux. Les discussions tournèrent autour du club puis on parla de l’équipe de France, et chacun se fit sélectionneur. La nuit était tombée ; nous restions dehors, éclairés faiblement par les spots solaires plantés un peu partout dans la pelouse. Dans la pénombre, je sentis la main d’Angélique se poser sur mon bras. Un frisson me parcourut tandis qu’elle se saisit de mes doigts et les serra. Je ne savais pas comment réagir sans être brusque. Je me contentai de rester détendu, et n’enroulai pas mes doigts autour des siens. Je tentai de m’éclipser mais son père intervint en me voyant me lever. — Tu comptes pas prendre le volant avec ce que tu as bu ? Tu peux rester, on a une chambre d’amis. De toute façon, tu n’as pas le choix, je ne te laisse pas partir. J’obtempérai, sachant qu’il avait raison et me rassis. Angélique me sourit et rejoignit sa mère pour l’aider à faire mon lit. Vingt minutes plus tard, je me retrouvai seul dans cette chambre aménagée au sous-sol. Assis sur le bord du lit, j’enlevai péniblement mes chaussures et mes chaussettes. Je retirai mon pantalon et me glissai sous les draps. Je sentis un tissu à mes pieds et l’attrapai à tâtons. J’allumai la lampe de chevet et découvris que je tenais entre mes mains une petite culotte de coton. La taille ne me laissait guère de doutes quant à sa propriétaire… Angélique avait abandonné sciemment son sous-vêtement à mon intention. ...
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