1. Les deux font la perversité


    Datte: 20/07/2021, Catégories: ffh, hplusag, intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, bougie, init, prememois, Inceste / Tabou fbi,

    ... Je la portai à mon nez et ne sentis que l’odeur de la lessive. Je décidai d’accepter son cadeau et je la cachai dans une poche de mon jean. Je me recouchai et m’endormis instantanément. Je fus réveillé au matin par des coups frappés à ma porte. Je m’assis dans mon lit, mis quelques secondes à resituer les lieux et dis : — Entrez !— Pas trop mal à la tête ce matin ? demanda Angélique en entrant dans la chambre et en ouvrant les rideaux. Il est déjà dix heures, tu sais. Il faut se lever si tu veux profiter de la journée ! Elle allait trop vite pour moi, tournant dans la pièce, ramassant ce qui traînait et parlant sans attendre de réponses de ma part. Je me rendis compte qu’elle ne s’était pas habillée pour venir me voir et qu’elle était vêtue simplement d’un tee-shirt long qui descendait tout juste à mi-cuisses. Quand elle levait un peu les bras, je pouvais voir le haut de ses cuisses et m’apercevoir qu’elle ne portait pas de culotte. Mon érection matinale n’en fut que renforcée, et j’attendais qu’elle s’en aille pour pouvoir me lever. — Mes parents sont partis ; ils ne rentreront que ce soir. On a toute la journée pour profiter de la piscine, il fait un temps superbe, on va pouvoir refaire un barbecue ; tu saurais t’en occuper ? Moi non, mais je peux préparer de la salade pendant que tu fais cuire les saucisses. Ça ne te dérange pas de rester ? Oh, mais tu avais peut-être quelque chose de prévu ? J’ai proposé à Laëtitia de venir ; elle ne devrait pas tarder, je pense. Ah, ça ...
    ... y est, j’entends sa voiture ! Viens, on va l’accueillir ! Elle prit la couverture et l’enleva d’un geste, dévoilant mon caleçon qui ne cachait rien de mon anatomie gonflée. — Oh, pardon, je ne savais pas que… enfin, que tu… excuse-moi, je ne voulais pas… Elle rougissait et s’excusait en bredouillant, mais ne détournait pas le regard de mon entrejambe, ce qui ne m’incitait pas à débander. — Angélique ?— Oui ? répondit-elle sans me regarder dans les yeux.— Si tu sors de la chambre, je pourrai m’habiller et vous rejoindre dehors. Va accueillir Laëtitia. D’accord ?— Oui, si tu veux, acquiesça-t-elle en reculant.— Et il n’y a rien de grave, ne t’en fais pas. Tout va bien.— Oui, d’accord, dit-elle en refermant lentement la porte. Elle me laissa enfin seul. Bon sang, cette gamine était une tornade ! Et puis sa façon de me fixer, comme hypnotisée, me laissait penser que j’étais le premier homme qu’elle voyait dans cet état. Je m’habillai et quittai la chambre. Je trouvai mon chemin jusqu’à l’étage puis sortis de la maison, accueilli par le soleil déjà haut. Les deux cousines étaient assises et discutaient, trop bas pour que je les entende. Angélique ne s’était toujours pas habillée, et Laëtitia… Laëtitia jouait avec ses formes, comme à son habitude. À 25 ans, elle avait de l’expérience et savait que ses attributs plaisaient aux hommes. Elle savait se mettre en valeur et n’ignorait pas qu’elle attirait les regards lubriques masculins et jaloux des femmes. Ce jour-là, elle portait un ...
«1...345...11»