Les deux font la perversité
Datte: 20/07/2021,
Catégories:
ffh,
hplusag,
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
bougie,
init,
prememois,
Inceste / Tabou
fbi,
... avait disparu et sa main s’était posée sur mon entrejambe qu’elle me massait lentement. — C’est aujourd’hui que ça va se passer ; tu vas lui faire l’amour, et moi je vais assister à ça, pour la rassurer, la guider, la préparer…— Et si je refuse ? J’en ai peut-être pas envie. C’est une gamine, après tout.— Tu pourras aussi me sauter, si ça peut te motiver, m’expliqua-t-elle. Mais j’ai l’impression que tu as l’air partant, pas vrai ? Elle poursuivait son massage sur mon sexe qui se tendait difficilement sous mon jean. Puis elle défit les boutons et sortit ma queue de mon caleçon. Elle me branlait lentement sans me quitter des yeux. — Alors ? Tu as encore besoin d’arguments ?— Après tout, je veux bien être son professeur. Avec toi à nos côtés, ça peut être très intéressant.— Voilà qui est bien, conclut-elle en se penchant sur ma queue et en l’engloutissant. Au moment où mon gland disparaissait entre les lèvres de Laëtitia, Angélique refit son apparition. Elle portait un plateau sur lequel étaient posés trois verres et une bouteille de blanc à moitié entamée. La jeune fille s’était donné du courage. Elle posa le plateau sur la table et nous observa de loin. L’appréhension se lisait toujours sur son visage, aussi elle n’osa pas approcher. Stoppant son experte fellation, Laëtitia se releva et invita Angélique à nous rejoindre. — Bon, reste pas là-bas, viens ici ! Déshabille-moi. Obéissante, Angélique défit le nœud de la brassière de Laëtitia qui tomba à terre, libérant ses seins ...
... lourds et fiers. Puis, la jeune fille s’agenouilla et débarrassa rapidement sa cousine de son short et de son string. Son petit triangle d’or me confirma qu’elle était une vraie blonde. — Enlève ton tee-shirt, t’as vraiment l’air d’une gamine avec ça ! Les yeux au bord des larmes, Angélique s’exécuta. Ses petits seins, son ventre plat et ses fesses si menues que je pouvais sans doute les tenir dans une seule de mes mains, tout cela tranchait véritablement avec le corps de femme de Laëtitia, sa poitrine imposante, ses hanches larges, son cul rebondi mais ferme. J’intervins tout de même, l’état de nervosité dans lequel se trouvait Angélique ne me laissait pas insensible. — Laëtitia, arrête de la brusquer ! Angélique, personne ne te force, tu sais. Tu n’es obligée de rien. Tu es jeune et…— Si, j’ai envie, m’interrompit-elle. J’ai un peu peur, c’est tout. Depuis le soir où on est entrées dans les vestiaires et que je t’ai vu tout nu, j’arrête pas de penser à toi. C’est la première fois que je voyais un homme nu en vrai. Et je veux que tu sois le premier, termina-t-elle dans un souffle qui me donna des frissons.— Impec’ ! Tu vois, elle en a envie, interrompit Laëtitia. T’es rassuré ? Personne ne force personne. On peut continuer ? Elle nous prit chacun par la main et nous entraîna près de la piscine. Sur les dalles étaient posé un grand matelas en mousse sur lequel Laëtitia avait installé des serviettes de plage. Je réalisai que j’étais toujours habillé et que deux filles nues, ...