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La Muse (4)
Datte: 20/07/2021, Catégories: Erotique,
Chapitre 4 : Le massage Tout émoustillée par ce qui venait de se passer, je m’appliquai à lui faire la même chose ; je ne devais pas être trop gourde car je sentais maman onduler légèrement sous mes mains. Ensuite, je pris un malin plaisir à lui lustrer le cuir dorsal et le fessier. Cette activité me fit oublier le temps et la chaleur ; c’est dégoulinant de sueur que nous sortîmes à l’appel de la fameuse Cécile. Enroulées dans nos serviettes, Cécile nous dirigea vers une autre pièce et entama un courtois monologue : — Bonjour ; je suis Cécile et je vais m’occuper de vous, Mademoiselle Jennifer ; pour vous, Madame Arnault, ce sera Camille. Nous avons réservé la salle pour couple, c’est plus sympa. Ah, j’oubliais ! Bon anniversaire, Jennifer ! Un massage en cadeau d’anniversaire est une belle idée, vous avez de la chance. Décidément, elles s’étaient passé le mot, dans cette maison. C’est vrai que c’était une belle idée de cadeau. En tout cas, la charmante Cécile est jeune ; une vingtaine d’années sans doute. Avec ses cheveux bruns et courts, elle a l’air bien sympa, et ses lunettes rondes lui donnent un air rigolo. Son leggins noir a tendance à lui rentrer dans les fesses ; hum, ça lui fait un cul… à croquer ! Son débardeur noir également, masque facilement sa poitrine ; j’ai la même : petite mais ferme. J’étais fascinée par son image, je n’arrivais pas à détacher mon regard de son cul ; je ne pensais pas qu’une tenue comme celle-là pouvait me faire autant d’effet. Alors, sur ...
... un mec, je ne vous raconte pas… En entrant dans la pièce, je découvris une salle de massage. Au milieu, deux tables séparées par un passage. Une lumière tamisée, une musique douce à la mélodie orientale et une odeur de jasmin étaient là pour inciter à la relaxation. La voix sensuelle de Cécile nous invita à prendre une douche et nous proposa un string de rechange ; maman refusa pour nous deux. Dans la grande cabine de douche, alors que je me battais avec ce mélange de sueur et de savon noir, je m’interrogeais. J’appréhendais d’être nue, aux mains de cette femme gracile et gracieuse ; n’étant pas complètement idiote, je connaissais la suite des opérations : j’allais me faire tripoter partout. J’en fis par à maman. Elle me rassura : je n’avais rien à craindre et devais me relaxer pour apprécier la suite. Comme j’ai toujours eu une confiance sans limite envers ma mère, mon angoisse disparut et je me motivai pour bien profiter de ce moment qui j’imaginais extraordinaire. Cécile nous passa deux draps de bain pour nous sécher, ce que nous fîmes, puis elle nous installa chacune sur une table de massage au plateau chauffé. Cécile nous recouvrit d’un drap et sortit de la pièce. Au début, je regardais maman ; elle me sourit. Bercée par la musique, enivrée par cette odeur de jasmin, je me laissai aller. Je fermai les yeux, mes muscles se détendirent un à un, mes doigts s’allongèrent ; j’étais bien. Je commençais à partir dans un voyage imaginaire. Un filet d’air frais me balaya le visage ...