Journal d'un Escort Boy (3)
Datte: 30/06/2017,
Catégories:
Hétéro
... rapides et précis, glissant la pointe de ma langue à l’intérieur. Comme l’anus de Marie s’ouvrait délicatement sous ma langue, j’y portai un doigt, afin de l’ouvrir pour de bon. Marie gémit lourdement, et son anus réagit positivement, aussi un second doigt rejoignit le premier. Les gémissements de Marie doublèrent de volume et son anus s’ouvrit encore, alors que ma langue et mes doigts le travaillait lentement. J’estimai bientôt qu’il était assez ouvert et lubrifié pour passer aux choses sérieuses. Je me redressai, saisit Marie par les hanches et approchai mon gland de son petit trou. Marie écarta les jambes, et, une main sur chaque fesse, m’en ouvrit l’approche. Je rentrai lentement en elle, inexorable mais délicat. Je sentis son anus se refermer sur la base de mon gland, l’aspirant à l’intérieur. Sans m’enfoncer plus, j’appliquai un mouvement de rotation, qui prit un peu de vitesse. Les cris de Marie me confortèrent dans mes mouvements. Lentement, je poussai un peu plus loin, tout en maintenant la rotation. Les jambes de Marie m’enserrèrent la taille, alors que ses mains se portaient vers sa chatte, une vers son clitoris, l’autre glissant trois doigts à l’intérieur. Je m’enfonçai en Marie jusqu’à la moitié de ma queue, puis commençai des va et vient, toujours agrémentés de la rotation. Marie criait sans discontinuer, ses mains s’affairant sur son clitoris et sa chatte en rythme avec mes coups de reins. Je sentais son cul pulser autour de ma queue, presque aussi humide ...
... que sa chatte l’avait été. Elle jouit, sans signe avant coureur cette fois, et son jus coula de sa chatte vers ma bite et son cul. Son corps se crispa et ses jambes se resserrèrent autour de ma taille, m’encourageant à non seulement continuer mais accélérer le mouvement. Ses mains continuaient à s’activer sur son clitoris et dans sa chatte, toujours en rythme avec mon propre mouvement. Quelques battements enfiévrés de coeur plus tard, je sentis venir la jouissance et éjaculai puissamment à l’intérieur de l’anus de Marie, alors qu’elle jouissait une nouvelle fois. Nos deux corps liés tremblèrent ensemble durant plusieurs secondes, alors que nous vocalisions notre plaisir. Enfin, Marie se relâcha complètement, ses jambes tombant au sol, et je me retirai d’elle pour m’effondrer à son côté sur le canapé. Quelques secondes plus tard, elle trouva la force d’approcher son visage du mien afin que nous partagions un tendre baiser. Bien qu’aussi exténué qu’elle, je la portai ensuite dans la chambre, malgré ses protestations qu’elle pouvait marcher. Je la rejoignis bientôt dans le lit et nous nous endormîmes aussitôt. Le lendemain matin, elle me raccompagna à la porte de son loft, vêtue d’une robe de chambre couleur crème, et m’offrit une boîte de chocolat de luxe pour me remercier pour la soirée. L’attention me fit sourire, me ramenant à mon malaise originel de venir les mains vides. Le taxi m’attendait devant la résidence et me ramena bientôt à mon domicile. Plus tard dans la journée, ...