Avant, j'étais sage
Datte: 21/07/2021,
Catégories:
f,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
confession,
... dire… sans culotte, c’est à dire vulnérable, disponible, prête à être prise. Mais, retirer une vraie culotte c’est toujours un peu plus fort comme sensation. Alors, je porte le plus souvent des culottes. J’en ai de toutes les couleurs pour les assortir à mon sac, à mes chaussures, à mes vêtements selon le cas. Actuellement, j’ai dans mon sac une culotte blanche en coton, une culotte noire en voile transparent, une culotte vert-lagon en dentelle (elle a une belle histoire), et aussi un shorty très tendance, deux culottesDim toutes simples et un string noir. Une vraie collection de lingerie ! Avant que tu me le demandes, je préfère le dire : je porte une petite culotte rose lacée sur les hanches et je vais la retirer dans quelques minutes. Pour les soutifs c’est un peu différent. J’aime bien ne pas en mettre mais ce n’est pas discret. J’enlève souvent le mien pour rentrer quand je porte un manteau. En été, j’en porte toujours un. En hiver, ça dépend des vêtements. Avoir les seins nus ne me donne pas directement de sensations sensuelles, sauf quand je roule en voiture et qu’un automobiliste les regarde (mes seins) ou quand je me caresse et que je veux me pincer le bout des tétons. Eh oui ! Avant j’étais sage et maintenant je ne le suis plus ! Je retire ma culotte une à vingt fois par jour. Une fois, c’est normal, mais vingt, ça sort de l’ordinaire et, si je le fais, c’est parce que je fantasme, et je fantasme énormément. C’est sans doute ma plus grande production intellectuelle ...
... de la journée. Ça représente bien plus de travail que mes dessins. J’imagine presque sans cesse des rencontres, des situations, des épreuves, des expériences que je vis en imagination ou que je vais tenter de réaliser. Je m’éclate à tel point que je préfère vivre mes fantasmes plutôt qu’à temps complet avec un homme. D’ailleurs j’ai trois copains qui voudraient bien de moi (sans me connaître réellement) et c’est moi qui ne le veux pas. J’aime bien l’un ou l’autre de temps en temps mais je veux rester libre dans ma vie privée. Je cherche sans cesse de nouvelles idées. Surtout le soir dans mon lit, quand je suis seule. Il faut que je te dise aussi que je me caresse. Pas seulement dans mon lit ou sous la douche. En public également. Mais je me suis donné une limite : je m’interdis de me toucher si je porte une culotte. C’est un deal avec moi-même. Si je porte une culotte, je dois avant toute chose la retirer. Ce qui n’est pas toujours décemment faisable. Le plus souvent j’y arrive. Je vous raconte une anecdote. La semaine dernière, jour pour jour, au guichet de la poste j’étais derrière une dame âgée. Il n’y avait personne d’autre dans l’agence. Sauf la postière bien sûr. Je passe une main sous ma jupe et d’un geste rapide je glisse un doigt sous l’élastique de ma culotte. Dans le même geste, je fais le tour de ma taille en faisant glisser la culotte. J’ai l’habitude. Du coup ma culotte descend à mi-cuisses, c’est le moment le plus palpitant parce que si quelqu’un arrivait, je ...