Avant, j'étais sage
Datte: 21/07/2021,
Catégories:
f,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
confession,
... discutent ensemble. Mes petites fesses restent à l’air et j’en profite même pour remonter carrément ma robe sur mon dos ce que je fais souvent dans la journée. À ce moment-là je me dis et me répète avec un certain plaisir que je suis une petite salope. J’ai envie d’entendre ces mots. Je serais prête à les écrire en rouge au creux de ma cuisse :« Je suis une bonne petite salope. » Après, le plaisir passe. Il est passé. J’attrape mon sac et je me redresse. Tu vas sans doute me dire que retirer ma culotte dans un bureau de poste désert et exposer mes fesses sans crainte d’être vue ne font pas de moi une bien grosse cochonne. Tu as raison. Mais ce n’est pas tout. Je t’ai dit que je me caresse. Je me masturbe. Je n’aime pas ce mot, pas plus que « branler ». Alors je dis que je me touche, que je me caresse, que je me donne du plaisir, que je me titille. Mais en fait, je me masturbe. Quand je ne porte pas de culotte et seulement dans ce cas. Et là, à la poste, je l’ai retirée ma culotte. J’ai donc le droit de me titiller. Eh oui ! Alors… je l’ai fait ! Je me suis caressée intimement et sexuellement devant la postière. C’était une femme très aimable d’une quarantaine d’années, assez jolie. Elle portait de belles boucles d’oreilles, une alliance avec un brillant, un joli collier fantaisie et une robe genre cachemire grise. Pour avoir du temps devant moi, je lui ai demandé des renseignements sur les boîtes postales, un carnet de timbres et j’ai déposé un petit colis que je souhaitais ...
... expédier. Une fois la dame partie, il n’y avait plus que nous deux dans l’agence. La postière a recherché dans son bureau un dépliant publicitaire relatif aux boîtes postales. Pendant qu’elle fouillait sur les étagères, j’ai glissé ma main gauche sous ma robe, le majeur sur ma fente que j’ai parcourue doucement plusieurs fois sur sa longueur. J’ai commencé à mouiller au moment où j’ai imaginé que la postière me surprenait, me faisait faire le tour du bureau et m’obligeait à lui bouffer le minou (je n’ai encore jamais fait ça). Je crois même qu’elle m’avait donné une fessée. Pourtant, loin de tout cela, l’employée de poste était en train de lever des liasses de documents à la recherche de celui qu’elle me destinait. Il importait peu. Pour moi, elle était à son bureau, moi dessous. Elle avait les jambes écartées, je lui retirais la culotte (dont je devinais la forme sous sa robe) et je glissais ma langue dans sa chatte pendant que trois cents personnes se pressaient dans l’agence. Elle est revenue avec mon papier et m’a souri en me le donnant. J’ai interrompu mes mouvements pour la remercier et faire mine de prendre connaissance du document. Alors j’ai pris son stylo et j’ai fait semblant d’annoter quelque chose. Puis je l’ai glissé sous ma robe, entre mes lèvres et je l’ai entré doucement dans ma chatte. Je l’ai laissé là. J’ai approché mon pubis de la paroi du guichet pour sentir le stylo bouger en moi. Tout en continuant de lire, j’ai glissé mon doigt sur mon clitoris. En ...