Mention Bien
Datte: 21/07/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
jeunes,
voisins,
vacances,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
... sortie de ses lèvres et… Oh ! Ce petit bout de chair rose déclenche un tsunami lorsqu’elle atteint mon gland, laissant des traînées délicieuses. Aussitôt elle enchaîne des léchages qui transforment ma queue en une glace dont le cornet est ma hampe et le parfum à son choix. Ou bien, est-ce une glace où les deux boules sont en bas, matérialisées par mes couilles qu’elle transforme bien vite en fruits qu’elle gobe et aspire. Rien à voir. Rien à voir avec les sucettes de mes copines, qu’elles se disent pucelles ou se revendiquent comme expertes. Elles peuvent aller se rhabiller. Se rhabiller, comme mon gland que ma branleuse recouvre par moment de son habit de peau, que ma queue grossissante a abandonné vers le bas pendant sa croissance. Mais les mains quittent le mât pour se consacrer à mes fesses et mes couilles. C’est l’instant magique, celui que j’ai pu voir ce matin, le moment où la queue ne vient pas se plaquer contre le pubis, mais reste tel un mât fiché en terre et que des lèvres maintiennent au bon angle. Ces lèvres rouge sang, qui forment un cercle continu sur le haut de mon gland rose, hypersensible et si fragile qu’un homme a toujours peur qu’une mâchoire trop possessive martyrise avec les dents. Le cercle s’agrandit à la mesure de ce qu’il entoure. Cercle rouge qui marque déjà le rétrécissement à la liaison du gland et de la hampe pour repartir maintenant et rester constant à mesure que la bouche descend, descend, lentement, lentement, pour finir un peu plus gros ...
... lorsqu’il bute sur les couilles. Une idée idiote me vient. A-t-on jamais vu la queue et les couilles disparaître dans une bouche. Bien sûr c’est impossible. Mais je n’ai même pas le souvenir d’une vidéo « Hentai », pourtant souvent peuplée de créatures très « imaginaires » qui le montre. Waouh. Ma suceuse remonte, redescend, pompe, aspire, suce, lèche, mordille. Mes yeux ne quittent plus le spectacle, tout étonné de voir réapparaître chaque fois ma bite encore plus grosse, encore plus raide, dégoulinante de salive qui ruisselle le long de la hampe et lessive mes bourses. À ce rythme-là, je ne vais pas tenir longtemps. Mes couilles sont des usines à foutre qui s’activent et gonflent par les réserves qu’elles préparent. Je sens les prémisses. Une envie d’uriner longtemps retenue mais qui ne peut être que la jouissance qui arrive. — Je viens. Je viens. Tiens ! J’ai retrouvé l’usage de la parole. Ma pompeuse reste en place. J’imagine que si elle est capable de boire le sperme que son amant a versé dans une tasse, le recueillir à la source doit lui être un plaisir. J’ai déjà goûté mon sperme. C’est bizarre, c’est tout. Lily s’immobilise les lèvres autour de mon gland. Elle a raison, je me sens de taille à lui balancer une purée qui la ferait s’étouffer si ma queue faisait bouchon. La cavalerie arrive. Une secousse et j’imagine un jet puissant qui balaye tout devant son passage, mais qu’une langue experte dirige et canalise. Le second. Le troisième. À chaque fois, je ne peux retenir ...