-
Portrait volé
Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, forêt, campagne, amour, soubrette, jalousie, dispute, pénétratio, jeu, mélo, portrait, historique,
... était nue à présent… nue dans ses bras, le corps palpitant sur le couvre-lit de soie. Le comte soupira à cette vue : Élise dépassait en beauté tout ce qu’il avait pu imaginer. Il caressa son buste tout en baisant son cou et ses épaules, puis descendit à son ventre et ses reins. La douceur de sa peau, la délicatesse de ses formes donnaient à ses baisers une fièvre qui l’embrasait tout entier. Élise soupirait sous les caresses de François. Elle aimait sa bouche et ses mains sur elle. Elle aimait cette force et cette passion qui l’entraînaient à s’abandonner. Elle gémit lorsqu’il lui ouvrit les cuisses pour goûter à son intimité. Vincent ne l’avait jamais caressée ainsi. La langue de François découvrait sa fente avec douceur et avidité, léchant les bords renflés des grandes lèvres, s’attardant sur le clitoris dressé avant de plonger dans le corridor humide et frémissant du vagin. Chaque coup de langue aiguisait le sexe de la jeune femme, alimentait plaintes et soupirs de volupté. Lorsque François sentit les premiers frémissements de plaisir d’Élise, il releva la tête, contempla la jeune comtesse avec un amour infini, avant de se hisser jusqu’à elle pour lui faire découvrir entre ses cuisses l’ardeur de son désir. Il dirigea son sexe tout contre la fente ruisselante et le frotta sur le clitoris ultra sensible, puis il fit glisser sa verge tout contre l’entrée vaginale. Il sentait son sexe frémir contre celui d’Élise. — Me veux-tu en toi, mon amour ? Dis-le-moi… Dis-le-moi… Je ...
... te veux si fort… Un gémissement tout à la fois de désir et de plaisir échappa à la jeune comtesse tandis que ses regards plongeaient dans ceux de François de Saillant avec autant de passion que l’homme qui la contemplait. — Viens ! murmura la jeune femme avec fièvre en l’attirant tout contre elle. Alors, dans un soupir heureux, ses yeux gris-bleu fondus à ceux brun sombre de son amante, le comte de Saillant la pénétra lentement, s’attachant à lui faire ressentir toute la force et la douceur de la rencontre de leurs deux sexes. Il se sentit à ce moment-là le plus puissant de tous les hommes, le plus accompli. Et il retrouvait aussi de manière animale, sauvage, quelque chose qu’il avait oublié depuis son mariage. Quelque chose qui le surprenait à revers de lui-même et qui en même temps le reconnectait à la vie, à l’amour et au bonheur : c’était cette sensation d’être un homme sûr de sa quête, sûr de ses sentiments et de leurs deux désirs, avides, passionnés. Mais aussi sûr de ce qu’il allait pouvoir vivre avec cette jeune femme que tout son corps mature venait de choisir pour vivre ensemble. Au moment où il toucha de sa verge tendue le col de l’utérus gonflé, il gémit. Le vagin trempé d’Élise suçait goulûment son phallus qui allait et venait lentement, faisant frissonner d’émoi sa maîtresse. Un baiser ardent réunit leurs bouches, tandis que leurs mains caressaient leurs corps nus, arqués par la tension fantastique du désir, à la fois feu et eau tumultueuse, pierre aiguisée et ...