1. Une odeur de pétrole


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, couple, extracon, cocus, cérébral, odeurs, Oral 69, pénétratio, confession, cocucont,

    ... l’autre nous prodiguant caresses et longs baisers. Comme il était près de 20 heures et pour prolonger la communion, je lui ai proposé une sortie resto. Nous nous sommes douchés, préparés, ma femme est sortie de la salle de bain, fardée mais toujours vêtue de sa nouvelle jupe courte. J’ai marqué ma surprise. — Tu ne t’es pas changée ? Elle a virevolté sur elle-même. J’ai rajouté : — Et tu n’as même pas mis de culotte ? Elle a éclaté de rire. — Ça te gêne ? Comme ça tu seras libre d’accès ! Nous avons ri tous les deux. Ça a été une soirée très érotique, moi la sachant quasiment nue sous sa micro-jupe et elle si vulnérable la vulve pratiquement à l’air. Nous avons refait l’amour comme des fous le soir à notre retour. C’était la "sex-renaissance". C’est fou l’imagination dont a fait preuve mon épouse durant ce laps de temps. Elle arrivait à me surprendre et à m’exciter. Elle préparait par exemple le repas déambulant toute nue dans la cuisine. Ou profitant de ma présence au salon, vêtue d’une robe extra courte, sans culotte, elle époussetait nos meubles et chacun de ses mouvements dévoilait son merveilleux petit cul et sa fente rasée. Vous imaginez comment cela se terminait ! J’étais devenu fier de ma virilité retrouvée. Elle inventait des jeux inattendus. Elle se mettait à genoux en travers de mon chemin lorsque je me mouvais d’une pièce à une autre et exigeait un "droit de passage". Vous devinez lequel ? Baisser mon pantalon et lui offrir mon sexe à goûter. À toute occasion elle ...
    ... n’hésitait pas à me débraguetter et à me sucer goulûment. Plus encore ! Un soir elle s’est positionnée en levrette sur le lit, la croupe bien tendue, avec juste à côté un tube de lubrifiant et m’indiquant de cette manière qu’elle m’accordait la petite rosette qu’elle m’avait toujours refusée. Cette période a duré environ 8 mois. Dans mon souvenir une parenthèse de bonheur. Puis graduellement les choses se sont tassées. Elle a semblé se lasser de ces jeux. J’ai tenté de prendre la relève, mais vainement. Plus tard elle me confiera s’être sentie mal à l’aise dans ce rôle de dominante. Comme toute femme elle aspirait à être désirée, étonnée. Alors les tensions ont réapparu. Elle devenait nerveuse, irascible. Jusqu’à la dernière crise où elle a été jusqu’à évoquer un divorce. J’avais eu besoin de réfléchir et c’était pourquoi ce jour-là, je n’avais pas été travailler. Après avoir bu mon café j’étais resté longuement à songer à ce qu’allait devenir notre futur commun. Une séparation ? Je n’arrivais pas à l’envisager. Et à nouveau l’odeur chimique a agressé mes narines. J’ai débarrassé la table et, bien décidé, je le suis mis en quête de son origine. Une recherche systématique. J’ai commencé par la cuisine. J’ai ouvert tous les placards, le frigo, regardé sous les éléments, puis passé l’aspirateur. Rien. Pourtant l’exhalation nauséabonde ne cessait pas. J’ai passé au crible le salon, notre chambre à coucher, tout l’appartement, sans résultat. Je dégoulinais de sueur. Mes vêtements ...
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