1. Le test


    Datte: 22/07/2021, Catégories: f, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Masturbation journal, fsoumisah,

    ... j’ai vu son assurance se briser et ses certitudes vaciller. Je n’ai pourtant pas décroché un mot et, plaçant tout le mépris que je pouvais dans mon regard, j’ai décidé de le snober et de me remettre au travail. Il a péniblement dégluti et a essayé à son tour de se replonger dans ses dossiers. Une demi-heure a passé, Nicolas était mal à l’aise et tentait de croiser mes yeux qui l’ignoraient superbement. À un moment, il a essayé d’engager la conversation en évoquant un problème qu’il rencontrait au sujet d’une option dont il n’était plus très sûr. Sèchement, je lui ai rappelé que je le lui avais montré hier et je lui ai donné la solution. Il a alors compris qu’il ne pourrait pas m’amadouer et s’est résolu à se taire. La matinée s’est passée dans ce climat morose. Nicolas avait retrouvé une attitude plus humble et je n’avais pas de raison de continuer cette austérité, j’ai donc décidé de briser la glace en lui demandant s’il mangerait dans le bureau ou pas. Il a pris cela pour une invitation et m’a répondu que oui. Je me suis replongée dans mon travail, afin de ne pas non plus le laisser croire que la partie était gagnée. Mais les choses ont très vite tourné en ma défaveur. À 11 h 59, un mail est arrivé dans ma messagerie. Blackbird : La sécheresse du ton employé me tétanisa, et en même temps, il me faut bien l’avouer, me fit mouiller aussitôt. Je dus relire le mail plusieurs fois avant de commencer cette réponse : La réponse arriva peu après : Lorsque je lus les premières ...
    ... lignes du mail, mon état d’excitation était déjà bien trop grand pour que je songe à nier le plaisir que je prenais à cette correspondance. Blackbird est un homme étrange, je l’ai connu gentleman et aussitôt après brute épaisse, dominateur autoritaire, et sa manière d’écrire, élégante et péremptoire, m’avait spontanément fait adopter la position de soumise sans même chercher à contester. J’y songeai en voyant combien ces gages étaient risqués, mais j’en vis aussitôt l’inutilité. Il y avait cette photo par laquelle il me tenait… J’ai mangé ma salade avec une boule au ventre. Je ne parlais pas, Nicolas non plus (il surfait sur Internet en même temps), mais j’étais devenue très anxieuse : ce silence pesant, je ne le maîtrisais plus et d’un coup, j’aurais donné n’importe quoi pour que Nicolas l’égaye d’une plaisanterie, même de mauvais goût. Quand j’eus fini ma salade, d’un air que je voulais naturel, en m’éventant d’une main, je retirai ma veste et la posai sur mon dossier de chaise. Aussitôt, Nicolas releva la tête, et il constata d’un œil avisé que je ne portais pas de soutien-gorge aujourd’hui non plus. Il dut conclure que c’était là mes habitudes. Il importait plus que jamais de maintenir cette distance que j’avais établie entre lui et moi, afin de ne pas permettre les dérapages de la veille. Nicolas ne regardait plus son ordinateur, mais bien moi, il attendait une suite. Je l’ignorai et me remis à manger, évitant soigneusement son regard. Il me restait la seconde partie de la ...
«1234...»