1. Le test


    Datte: 22/07/2021, Catégories: f, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Masturbation journal, fsoumisah,

    ... mission à exécuter, la plus difficile, et il était évident que je ne pourrais pas la réaliser telle quelle avec Nicolas à me zyeuter. Aussi, je l’envoyai nous chercher des cafés à la machine – pour anticiper sa remarque selon laquelle il y avait une cafetière dans mon bureau, je lui demandai un thé, pour changer. Cela me laissait à peu près cinq minutes – sur le trajet retour, avec un gobelet dans chaque main, il irait plus lentement pour ne pas renverser – pour prendre la photo. Dès que Nicolas eut quitté le bureau, je me mis en action. Je retroussai ma jupe au-dessus de ma taille et reposai mes fesses nues sur la chaise. Celle-ci était dotée d’un petit coussin assez moelleux. Mes fesses s’y enfoncèrent et je sentis le tissu contre les lèvres de mon sexe. Je mouillais, évidemment. Blackbird n’avait pas précisé quel genre de photo il voulait, aussi je lui en fis deux – je notais que j’étais trop consciencieuse pour être honnête, trop contente en réalité de la mission qu’on m’avait confiée. La première photo me prenait de profil, on y voyait mes jambes gainées par le bas, la jarretelle, tendue, et la peau délicieusement laiteuse entre le noir du nylon et celui de ma jupe. Ce bout de peau révélé, assez chastement, formait une jolie courbe, celle de mon globe fessier. Cette photo étant sans doute trop soft pour Blackbird – j’avais déjà pu juger de ses talents de photographe hardcore –, j’en fis une seconde où cette fois, je plaçai l’appareil juste en face de mon pubis, un peu ...
    ... en hauteur, de façon à ce que l’on puisse voir mes cuisses, la fin des bas et mes cuisses qui se rejoignaient à hauteur de mon sexe, entrouvert. Il ne faisait aucun doute que j’étais bien nue en contact direct avec la chaise. À peine avais-je fini ces photos que je vis Nicolas entrer dans la pièce, et j’eus tout juste le temps de ramener, un peu trop précipitamment peut-être, la chaise sous le bureau de manière à ce que mon ventre soit collé au bord de la tablette. Je n’avais pas remis en place ma jupe, impossible de le faire discrètement maintenant : il me fallait rester ainsi jusqu’à ce que Nicolas ressorte. Par chance, le stagiaire déposa les gobelets sans contourner mon bureau – sans quoi, il aurait probablement noté ma jupe relevée. Il se rassit, après avoir à nouveau lorgné mes seins, et se remit au travail. J’expédiai à Blackbird les deux photos et j’attendis une réponse, mail ou SMS, mais c’est mon téléphone portable qui se mit carrément à sonner. Gênée – et pourtant, Nicolas n’y prêta pas vraiment attention – je décrochai. — Emma, je te félicite. Ce sont deux jolies photos. Je suis ravi de voir avec quelle docilité tu t’es exécutée. J’ai cependant quelques remarques à faire concernant ta toison pubienne. Bien que la coupe ticket de métro soit à la mode, j’ai une préférence pour les sexes totalement lisses. Je te prierai donc, à l’avenir, de tout enlever. Je pensais à ce que dirait Paul, et je commençais à protester par un « mais », lorsque le regard interrogateur de ...
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