1. Initiation d'une jeune bourgeoise -1


    Datte: 23/07/2021, Catégories: Humour, Première fois

    Initiation d'une jeune bourgeoise -1 -Je me suis marié, sur le tard, j'avais trente ans, à une fille de bonne famille, comme on dit.Tous les deux issus de la bourgeoisie de notre ville de Province, notre union avait été , sinon arrangée, du moins facilitée.A peine un an de moins que moi, Camille était vierge le soir de nos noces.Moi non, oh que non !Etudiant à Paris, j'avais roulé ma bosse, usé et abusé de mon corps .J'avais perdu mon pucelage dans les bras d'une prostituée qui, attendrie surement par mon inexpérience et ma jolie gueule , m'avait fait la totale, faisant de moi un homme.J'en étais ressorti tellement ébloui par ce que deux êtres peuvent faire dès qu'il s'agit de sexe que je n'avais eu qu'une seule obsession, continuer.Je m'étais mis en chasse de tout ce qui pouvait m'accueillir entre ses jambes, jeunes, moins jeunes, belles , moins belles, je draguai toutes celles avec qui j'estimai pouvoir conclure.Au milieu de la faune parisienne, je m'étais quelque fois trompé . J'avais pratiqué ma première fellation à une trans que j'avais prise pour une dame.J'avais aimé, j'avais recommencé, en toute connaissance de cause.Et puis voilà, il avait bien fallu que je rentre chez mes parents pour, suivant la tradition familiale, reprendre la broîte de papa.Je connaissais Camille depuis toujours.Nos parents se fréquentaient, nous allions au même club de tennis, assistions aux mêmes offices, dansions aux mêmes rallyes.Pas déplaisante la Camille, jolie même, sauf qu'elle était ...
    ... d'une timidité extrême, toujours sous la surveillante de son dragon de mère et vêtue immuablement de jupes longues bleues et gilet informe.Avant notre soirée intime, je n'aurai jamais pu décrire son corps.Mes parents voulaient me caser. Camille était plaisante, intelligente, drôle, alors, elle ou une autre..Je lui avais fait la cour sous le regard attendri de nos vieux qui voyaient d'un bon oeil l'union de nos deux familles.J'avais demandé sa main à son père, en gants blanc.Nous nous étions fiancés au mois de Mars et avions convolé en plein mois d'Aout.Grandes noces s'il en fut ! La mairie avec le Député Maire, la messe avec le tonton évêque...Bref le grand tralala qui ne parvint à se dérider que quand les aînés, la fatigue aidant, cédèrent la place, tard dans la soirée , aux plus jeunes.A ma grande honte, j'avoue que je ne sus pas réfréner mes envies ce soir là. Non, je suis un menteur, je n'eus pas honte du tout de culbuter son témoin de mariage à l'arrière de la limousine.Il faut dire que la belle blonde, toute de court vêtue, bronzée à souhait, m'avait aguiché toute la soirée.Durant les toast traditionnels elle n'avait pas hésité à faire remonter son pied jusqu'au niveau de ma braguette. Elle avait ainsi pu tater la raideur de mon sexe.Quand, quittant la salle, elle m'avait adressé un clin d'oeil canaille, je l'avais suivie dehors. A l'abri des regards, elle avait enfoui sa langue jusque sur mes amygdales.J'avais relevé sa courte robe pour arriver jusqu'à ses fesses nues.Je ...
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