1. Initiation d'une jeune bourgeoise -1


    Datte: 23/07/2021, Catégories: Humour, Première fois

    ... se refusait jamais, elle restait prude , un brin coincée, jamais demandeuse.Si elle acceptait que je lui fasse de longs cunnilingus, elle ne voulait pas me rendre la pareille, prétextant que c'était une pratique digne des dames de petite vertu.Pour moi qui avait connu bien des femmes ouvertes, libérées, nos relations conjugales commencèrent sérieusement à manquer de piment.Un jour que je lui faisais remarquer qu'elle pourrait être un peu plus coquine , elle me répondit :-- Je suis une femme respectable, pas une catin comme Marie.-- Marie ? Quelle Marie ?-- Mon témoin de mariage.-- Ah cette Marie là .-- Oui d'ailleurs on la surnomme Marie Couche toi là.. c'est te dire..-- Je l'ignorais...-- Pourtant il me semble que tu ne lui étais pas indifférent le soir de notre mariage.. Elle t'a fait des avances ?-- Non, penses tu !!Malgré tout, nous nous aimions. D'une union arrangée, était né un amour réciproque et nous nous sentions bien ensemble.Je lui restai fidèle trois mois. Et puis, ma nature obsessionnelle repris le dessus...Je venais d'embaucher une nouvelle secrétaire... un vrai Cliché... Jeune , jolie, souriante, amène.Elle me fit comprendre qu'elle ne serait pas contre un rapprochement des classes sociales...En cette fin d'après midi d'un vendredi, je lui avais demandé, de rester pour finir un courrier..Elle n'avait pas été dupe de ce prétexte fallacieux et dans un désarmant sourire, elle m'avait répondu qu'elle était a ma disposition, insistant bien sur le mot disposition.Les ...
    ... bureaux désertés, elle avait toqué à la porte et sans un mot s'était rapprochée.Je l'attendais debout, appuyé contre le bureau.Elle s'était agenouillée, avait baissé la fermeture de mon pantalon et avait eu du mal à extirper ma bite raide de son caleçon.Elle avait eu l'air satisfaite de sa découverte et avait posé des petits bisous sur mon sexe avant de le prendre en bouche..Sa fellation avait été délicieuse, il y avait tant de temps qu'on ne m'avait pas sucé...Craignant de ne pas être capable bien longtemps de résister à ses talents, je l'avais relevée et faite pencher sur le plateau.J'avais troussé sa jupe, baissé son tout petit string noir et dégusté son petit trou alléchant et sa chatte imberbe.La belle se trémoussait d'aise et, toujours me vouvoyant, me poussait à continuer.Je l'avais alors enfilée , faisant durer mon plaisir, jouant avec le sien, jusqu'à ce qu'elle arrive à sa jouissance m'autorisant à prendre mon pied.Nous renouvelâmes ces jeux plusieurs fois jusqu'à ce que la jeunette n'en prenne trop à ses aises, exigeant presque de moi que je quitte Camille pour elle.Le lendemain , elle fut licenciée avec , tout de même, je ne suis pas un monstre, de confortables indemnités.De nouveau sans amante, je répondis aux sollicitations de Marie qui n'arrêtait pas de me relancer.Marie couche toi là était, et Camille avait raison sur ce point, une véritable salope, limite nymphomane.Elle n'avait aucun tabou, aucune limites et j'étais certain de ne pas être le seul à profiter ...