1. Le monde à l'envers


    Datte: 12/11/2017, Catégories: fh, extracon, grossexe, vacances, plage, danser, toilettes, vengeance, jalousie, Oral préservati, pénétratio, fsodo, coprolalie, confession,

    ... ? J’ai craqué ! Je me suis laissé entraîner dans les toilettes de l’hôtel. Après avoir fermé la porte Marina m’annonça en se pendant à mon cou : — J’ai des préservatifs dans mon sac. J’en ai conclu, un peu éberlué, qu’elle avait prévu de se taper cette nuit le premier mec venu. Soulevant sa petite robe je fis glisser sa petite culotte qui s’avéra être un string minuscule le long de ses cuisses. Elle m’aida pour franchir le cap des escarpins et m’exhiba ce bout de tissu de quelques centimètres carrés. — Regarde, comme tu m’as fait mouiller, me lança-t-elle en riant. Tandis qu’elle se démenait pour déboutonner mon jean et ma braguette avec la furie d’un chien qui déterre un os, soulevant sa petite robe je glissai une main entre ses cuisses pour vérifier ses dires. Pas le moindre petit poil ! Écartant des lèvres intimes toutes moites je suis parti à la recherche du petit bouton sensible. Aucune peine à le trouver, le clito érigé de Marina avait la taille d’un mini pénis. Ma caresse se faisant obligatoirement plus précise, elle se mit à glousser et à se tortiller de plaisir en écartant un peu plus les jambes. Une invite à une exploration plus profonde. Je le pénétrai de deux doigts qui s’enfoncèrent dans son vagin comme dans un pot de miel. — Non, pas tes doigts, protesta-t-elle aussitôt. J’en ai marre des doigts et des godes, je veux ton sexe. D’un geste décidé elle baissa mon boxer, s’empara de mon pénis et m’enfila un préservatif avec dextérité. — Baise-moi à la hussarde, ...
    ... j’adore, m’annonça-t-elle en se pendant à mon cou et en me ceinturant de ses cuisses. Passant mes mains sous ses fesses je la fis descendre sur mon pénis qui prit tout seul le chemin du paradis. Je découvris un petit vagin bien serré qui était un vrai régal. L’adossant au mur je me suis employé à en visiter tous les recoins. Avec sa petite taille, son poids plume et ses cuisses écartées en grand, j’avais l’impression d’embrocher un poulet. — Ne t’arrête pas, me supplia-t-elle. C’est trop bon, tu es raide comme un bout de bois. Va plus vite et plus fort. Bien, madame ! Heureusement le préservatif diminuait mes sensations et j’ai pu répondre à sa demande. Je lui ai décollé la pulpe du fond à grands coups de bassin. — Putain, je viens déjà ! Continue ! Oui… Putain ! Oui ! Oh ! Oui ! Emportées par son orgasme, ses cuisses me serrèrent violemment et elle poussa un véritable cri d’agonie. J’allai me laisser aller à l’accompagner quand il me vint une idée. Pourquoi ne pas profiter à fond de la situation ? Avec un mari qui bandait mou, Marina n’avait pas dû souvent goûter aux joies de la sodomie. Elle était si chaude qu’elle était capable de se laisser faire. Qui sait ? Je l’ai redéposée par terre en lui disant. — Retourne-toi, ma cocotte, et appuie-toi sur le mur.— Tu es resté sage ? s’étonna-t-elle en me présentant docilement sa croupe. T’es génial ! Fort de ce compliment qui m’alla droit au cœur, j’ai troussé sa robe. Comme elle était bien ouverte et dégoulinante de cyprine, j’ai plié ...
«1234...8»