1. Le monde à l'envers


    Datte: 12/11/2017, Catégories: fh, extracon, grossexe, vacances, plage, danser, toilettes, vengeance, jalousie, Oral préservati, pénétratio, fsodo, coprolalie, confession,

    ... les genoux et je l’ai embrochée d’un coup. — Oh putain, que c’est bon ! Vas-y, baise-moi comme une chienne ! fut son seul commentaire. J’ai effectué quelques va-et-vient puissants la faisant de nouveau couiner de bonheur puis je me suis positionné un peu plus haut sur son joli petit trou plissé. Le temps qu’elle comprenne j’étais déjà en place. — Non, pas là ! s’écria-t-elle, paniquée. Je n’ai pas du tout l’habitude.— Moi si ! Élodie adore. Ce qui était un gros mensonge. J’avais bien fait quelques tentatives après notre mariage avec ma charmante épouse mais elle m’avait toujours refusé ce petit plaisir en me traitant de pervers. À force de me faire remballer, je n’avais plus insisté et m’enfoncer entre ses reins était devenu un pur fantasme. Je vis Marina hésiter. Une maîtresse peut-elle paraître plus coincée qu’une fidèle épouse ? — Bon, capitula-t-elle, mais prépare-moi bien.— Aide-moi, écarte-toi bien les fesses. Glissant un doigt dans sa fente dégoulinante, je barbouillai de ses sécrétions son adorable petit trou tout plissé, pressant de plus en plus fortement sur la petite rondelle jusqu’à ce que mon doigt tout gluant perfore ses sphincters. L’endroit était tellement serré que je me demandais comment j’allais pouvoir arriver à y enfoncer mon sexe. — Ça va ? m’inquiétai-je en la voyant tétanisée.— Oui, ça va, mais j’ai peur que tu me fasses mal, me répondit-elle. Tu es beaucoup plus gros qu’un petit doigt.— Fais-moi confiance. J’ai de l’expérience, mentis-je. Essaye de ...
    ... te décontracter. À force de jouer avec sa petite entrée je sentis ses sphincters se relâcher. M’imprégnant de l’abondante mouille qui coulait de sa chatte je pus enfoncer un second doigt, sortir, élargir, rentrer et rerentrer de plus en plus facilement. — Je crois que tu es prête, annonçai-je. On y va ?— Tu iras doucement ? implora-t-elle. Je bandais comme un malade. J’étais tellement dur que j’en avais presque mal. Marina écartait ses fesses des deux mains, j’avais une main crochée sur une de ses hanches, de l’autre je positionnai mon sexe sur son petit trou. Faute d’expérience de la chose, je m’attendais à une très forte résistance. Guidant mon sexe de la main j’ai poussé de toutes mes forces sur la petite rondelle brune. Préservatif lubrifié aidant, son sphincter capitula d’un coup. Marina poussa un cri déchirant et je vis disparaître mon pénis entièrement au fond de ses reins. — Salaud, je t’avais dit doucement ! hurla-t-elle en me traitant de tous les noms. Heureusement la musique couvrait tous les bruits. Ne tenant aucun compte de ses protestations, c’était bien trop bon, je me suis mis à aller et venir de plus en plus rapidement dans l’étroit conduit. Marina, embrochée et scotchée sur le mur, ne pouvait rien faire d’autre que subir. Elle en perdit tout son vernis de bonne éducation et se mit à me débiter un flot d’insanités. À chaque coup de bassin, mon pubis tapait violemment sur ses adorables fesses, la décollant presque du sol. Ses sphincters rendirent grâce. Je pus ...
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