Nous deux, Mary et Pierre (9)
Datte: 23/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Chapitre 10 : week-end chez Valérie et Éric Après notre week-end en compagnie de Valérie et Éric, notre vie de couple reprend ses droits, une grande complicité nous unit, la tendresse, la douceur et bien sûr le sexe à haute dose. Une envie charnelle nous pousse l’un vers l’autre. Mary et Valérie sont devenues de vraies amies, elle se voient souvent, une grande amitié lie les deux femmes, grâce pour beaucoup à leur situation sentimentale identique. Nous sommes fin septembre, le beau temps est toujours d’actualité. Un soir en rentrant du boulot, Mary resplendit dans son tailleur, perchée sur des escarpins noirs avec une hauteur de talons incroyable, lui galbant ses longues jambes à merveille. Un pur délice pour mes yeux. « Mon chéri, j’ai déjeuné avec Valérie, et nous sommes invités à passer le week-end chez eux, en plus ils ont une piscine. Valérie m’a précisé de ne pas oublier nos maillots de bains. » — « Génial, surtout que la dernière fois c’était bien chaud ! » - « Tu ne penses vraiment qu’au cul, tu n’es qu’un gros cochon ! » - « Ne me dis pas que tu n’y a pas pensé quand Valérie nous a invités !... » Avec une petit voix sensuelle, Mary me répond : « bien sûr que si ! Je recommencerais volontiers, c’était sympa, non ? » - « Oui ! Maman tu deviens une vraie dévergondée… ». On éclate de rire tous les deux, Mary vient se blottir contre moi, et me roule une pelle de feu. Elle me susurre à l’oreille : « on va prendre une douche, mon amour. » Je sais bien comme cela va finir. ...
... En lui mettant une petite claque sur le cul, je lui dis : « direction la salle de bain gente dame !... » Mais avant la douche, nous passons par notre chambre pour nous déshabiller. Maman marche devant moi en tortillant du cul, une vrai provocation, moi qui rêve de la baiser, quand elle est en tailleur. Je saisis l’occasion, je l’attrape par les hanches, me colle contre son cul, frotte ma queue bien bandée. « Oulalah, je constate que Monsieur a une grosse envie ! » Je pousse Maman sur le lit et me vautre sur elle, nous entamons un baiser diabolique. Ma main se faufile sous sa jupe, écarte son string, caresse sa minette qui est déjà bien humide. « Eh bien, je ne suis pas le seul à avoir une grosse envie ! » - « Viens en moi, mon cochon de fils!... » Je me relève pour enlever jean et boxer, Mary remonte sa jupe et écarte impudiquement son string. Je guide mon engin, et pénètre langoureusement la matrice dégoulinante, Mary pousse un « humm » de satisfaction. Je pénètre maman bien profond, lui arrachant des gémissements de bonheur. « Accélère maintenant, baise-moi bien profond !!... » La cadence du pilonnage augmente jusqu’ à atteindre une cadence infernale. « Oui continue, baise ta salope, fourre-moi la bien au fond ! » — « Tu as vraiment le feu au cul, tu vas prendre cher ma salope ! » A cette cadence, nous atteignons rapidement des sommets dans la jouissance, je me vide en hurlant mon plaisir, ainsi que Mary en me recevant. « Putain que c’est bon de se faire baiser en rentrant ...