Nous deux, Mary et Pierre (9)
Datte: 23/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... profonds, qui la font ahaner. Avant de lui perforer son joli petit cul, je lui prépare la rondelle avec moi doigt imprégné de son jus. Je lui enfonce l’index complètement dans son fondement, elle apprécie avec un long gémissement. « Maintenant déboîte-moi le fion, fais-moi jouir du cul ! » Après cette demande, j’encule d’un trait ma chère mère. Une pratique régulière de la sodomie facilite la pénétration, je reste toujours un instant sans bouger, pour lui permettre de s’habituer à ce corps étranger qui lui perfore son joli cul. « Mets la machine en marche, encule bien ta salope ! » - « Je vais t’exploser le fion ma salope !! » Et c’est parti pour une pilonnage puissant. Mary, la bouche grande ouverte, cherche son souffle, elle ahane tellement je lui ramone le fion. Pendant ce temps, il y en a deux qui approchent du nirvana, leurs cris ont augmenté d’intensité. Valérie hurle toute sa jouissance : « oh ouiiii je jouis, remplis-moi les boyaux de ton foutre ! » Éric se vide dans sa chère Valérie, en poussant un hurlement bestial. Valérie, secouée par les spasmes de la jouissance, s’effondre sur son fils. Nous ne sommes pas en reste, je continue mon pilonnage intensif. « Vas-y, défonce-moi les boyaux. Oh ouiiiii ça vient, je jouis du cul, quel pied !... » Je me vide en de longs jets puissants au fond du magnifique cul de Mary, qui est secouée par de longs tremblements de plaisir. Les jambes coupées par l’intensité de la jouissance, je m’avachis sur Maman. Les deux couples ...
... mettront un long moment pour redescendre de leur nuage charnel. Nous rejoignons nos amis, toujours blottis l’un contre l’autre sur le transat. Valérie avec un grand sourire nous dit : « j’ai subi un enculage de première, un vrai bonheur !!... ». Nullement en reste, Mary ajoute : « il m’a éclaté la rondelle comme un dieu !!... » — « Mes amis, si vous souhaitez prendre une douche, vous connaissez le chemin !... » Main dans la main , Mary et moi nous rendons à l’intérieur de la maison. La douche sera longue, toute en sensualité. De retour dans la chambre pour nous rhabiller, nous percevons des bruits suspects. Mary et moi nous nous regardons en souriant, nous savons très bien de quoi il s’agit. Nous allons rejoindre nos amis pour les prévenir que la douche est libre. En arrivant au bout du couloir, un superbe spectacle s’offre à nos yeux. Dans la grande cuisine américaine, Valérie assise sur le plan de travail, les jambes sur les épaules de son fils, se fait défoncer sauvagement par son homme, cramponnée au rebord, la tête en arrière. Elle encaisse ce traitement avec délectation, rythmé par de longues plaintes de plaisir. Au passage, Éric lèche avec amour les jolis orteils de sa dulcinée. Nous restons en retrait dans le couloir, Mary collée contre moi. Le spectacle me met en émoi, ma virilité se réveille, je serre de plus en plus maman afin qu’elle sente mon envie. Planté derrière elle, je me frotte bien contre son cul, en lui malaxant ses deux grosses oranges. « Tu ne penses vraiment ...