Telle mère, telles filles ! Ch 4
Datte: 24/07/2021,
Catégories:
Anal
Inceste / Tabou
Humour,
CHAPITRE 4 : Cécile, l’ainée.Quatre heures plus tard je dîne seul dans un petit restaurant sans femmes, pour reprendre un peu mes forces, pour reprendre surtout mes esprits.Mes forces reviennent assez vite, mais mes esprits furent plus lents.Quand je rentre vers onze heures, il me reste encore à comprendre comment tout ça m’est arrivé. Reprenons.Donc je viens de retrouver ma sœur Marie, née d’un père Italien différent du mien, disparue de ma vie depuis des années et qui vivait de ses charmes (pour ne pas dire qu’elle faisait la putain, c’est quand même ma sœur !) et qui offre sans vergogne ses filles (ou les vend...).Que je baise une de mes nièces, l'une de ses trois filles, c'est assez compréhensible. Depuis l’antiquité les jeunes hommes (et moins jeunes) ont couchés avec des filles de 16-17 ans que se soit leurs filles, leurs sœur ou leurs nièces.Que ma salope de sœur, leur mère, habituée à partager les amants de ses filles, est sonnée chez moi aussitôt après, ça peut encore paraître tout naturel.Mais pourquoi m'a-t-elle envoyé Lili ? Pourquoi m'a-t-elle aussi promis la visite de...On frappe. On frappe une deuxième fois... Je vais ouvrir et une voix douce et tranquille me dit:- II paraît que c'est mon tour ?Je recule. Marie m'avait prévenu que Cécile était la plus jolie de ses filles, mais je n'espérais pas qu'elle le soit à ce point, et je le lui dis en pleine figure :- Dieu que tu es jolie !- Voulez-vous bien vous taire ! dit-elle tristement. Toutes les filles se ...
... valent.- C'est toi... Cécile ? Ma…nièce….- Oui. Je vous plais…tonton…- Si tu me plais !Elle m'interrompt pour me dire avec une sorte de soulagement et de lassitude :- En bien, tant mieux, parce que moi, je me donne comme je suis. Vous savez, je ne suis pas coquette pour un sou, et si tu... si vous... Oh ! On se tutoie, hein ? C’est plus simple.- Et on s'embrasse ?- Tant que tu voudras. J’ai toujours rêvé d’embrasser mon tonton que je n'ai jamais connu.Je lui prends la bouche passionnément. Le baiser qu'elle me rend a plus de mollesse que d'ardeur, mais il est de bon accueil. Elle dit seulement, quand je lui mets la main sous sa jupe :- Doucement ! Laisse-moi donc me déshabiller.- Crois-tu que j'ai le temps ! Devant une beauté pareille !- Tu as toute la nuit.Et sans hâte, avec la simplicité d'un modèle qui ôte ses nippes devant un peintre, elle enlève sa robe noire, ses bas, sa chemise et elle apparaît en tenue d’Eve devant moi, elle soupire :- Tu vois bien que je suis comme les autres.Elle est délicieuse. Moins brune de peau que sa mère, mais aussi noire de poils et de cheveux, bien en chair mais pas grosse et pas un gramme de graisse. Ses contours sont doux et tout en elle est douceur. Le regard, la voix, la peau, la caresse.Quand elle est sur mon lit et entre mes bras elle murmure presque humblement :- Je veux te faire plaisir... Tu n'as qu'à demander, je ferai ce que tu voudras et comme tu voudras.Cette fois, une furieuse envie me saisit de posséder cette jolie fille par la voie ...