1. Telle mère, telles filles ! Ch 4


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Anal Inceste / Tabou Humour,

    ... pas lui laisser de doute sur mes intentions.J'ouvris ses fesses entre mes mains et je touche du doigt ce qu'elle m'offre... non je dois dire ce qu’elle me demande de prendre.Ça me rappelle une jeune fille à qui j'ai fait cela et qui s'est écriée avec un frémissement de l'arrière-train :- Oh, ta queue ! Ta queue ! Je veux ta queue !Cécile mouille, non...coule beaucoup, mais ne frémit guère et ne crie pas. En outre, je pense qu’elle est plus habituée à donner des caresses qu'à en recevoir.Par une méprise que sa profession peut facilement expliquer, elle prit mon geste pour un signal et comme elle ne lèche que mes testicules elle me met sa langue plus bas et titille mon trou du cul.Cécile n'était pas vicieuse. La plupart des hommes ignorent tellement l'adolescence féminine qu'ils ne sauraient comprendre comment une jeune fille peut avouer son goût de se branler quand on l'encule et n'avoir aucun sens du vice. Les jeunes filles me comprendront mieux et cela me console, car il est évident que ce roman sera lu par les jeunes filles ou jeunes femmes plus souvent que par leurs amants ou maris.Donc, Cécile n'a aucun sens du vice, heureusement pour elle et pour moi ; mais, elle est "sensible", comme dise les auteurs du dix-huitième siècle. Et, sans cris ni soupirs ni trémoussements de la croupe, elle se met à baver si abondamment que la petite Lili (vicieuse, celle-là) aurait trempé trois biscuits dans cette flûte mousseuse. Ça déborde sur la vulve et ça passe par-dessus les ...
    ... poils... Je me retire à temps.Ce que je viens de voir me console de ne pas posséder Cécile par la voie inondée.Quand on se retrouve côte à côte, un nouvel incident nous arrête. Cécile ne voulait rien choisir, ni proposer. Elle n'a ni goût, ni caprice, ni préférence, ni invention. Imaginer ou décrier, cela la fatigue.- Pourvu que tu m'encules et que je me branle, dit-elle, je serai contente.- Alors mets-toi la tête par terre et les deux cuisses sur le lit.- Comme tu veux ! dit-elle simplement.Puis, dès qu'elle comprend que ce n'est pas sérieux elle prend mon visage entre ses belles mains et me dit avec un sourire, sans amertume :- Tu t'amuses quand tu te fous de moi ? Eh bien ! Continue toute la nuit et chaque fois que nous coucherons ensemble. C'est le plus facile de tous les jeux. Je crois tout ce qu'on me dit et je ne me fâche de rien.- Tu es désarmante ! Lui dis-je.- Je suis désarmée, répond-elle, parce que je sais depuis longtemps que je suis une pauvre fille.Mot lamentable, mot tragique ! Je n'oublierai jamais le ton que prit ma nièce pour me dire ce mot-là. Et les femmes sont bien folles de croire qu'elles nous séduisent par l'art de s'embellir. Cécile faillit me prendre jusqu'au fond du cœur par cet aveu qu'elle me fait.Nue devant moi, elle a la tête inclinée, les mains jointes sur le ventre au niveau de ses poils... Je crois que c’est la première fois que je la regarde.Je ne voyais que sa beauté, comme son caractère, absolument sans fard. Ni rouge aux lèvres, ni broche aux ...
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