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Je dévergonde ma mère... (2)
Datte: 17/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou
CHAPITRE 2 J’avais passé la nuit avec une Ukrainienne qui était venue pour faire des essais en vue d’un nouveau film que je projetais de tourner. Comme souvent, je l’avais « testée » avant de lui proposer un contrat. Elle avait donné le meilleur d’elle-même et j’étais presque décidé à l’engager. Elle pompait comme une reine. Peu de filles avaient réussi à gober ma queue aussi profondément qu’Irina. Son cul aussi avait bien encaissé mes 22cm. Elle en avait même redemandé. Cette grande blonde, était un très bon coup. Ainsi j’avais avalé un Cialis vers minuit pour continuer à lui faire sa fête jusqu’à tard dans la nuit. Lorsque la sonnerie de Skype retentit vers 10h00, j’étais profondément endormi. Du fond de mon coma, je me suis levé au radar et ai enfilé un boxer machinalement. J’ai décroché sans même vérifier qui appelait. Et alors que Skype effectuait la connexion par webcam, j’enclenchais ma machine à expresso pour mon premier café de la journée. Il faut dire qu’avec la gueule de bois que je me tenais, seul ce miraculeux breuvage pouvait me tirer du demi-sommeil où je me trouvais encore. Avant que je me retourne, j’ai entendu la voix de ma mère : « Bonjour mon chéri. Ca va aujourd’hui ? » « Heu oui, bonjour Maman. Excuses moi je viens juste de me réveiller et j’ai veillé tard hier. » « Toi, tu as encore fait des cochonneries toute la nuit. » « Mais non, pourquoi dis-tu ca Maman ? » « Parce que je te connais et que tu es un petit cochon, répondit elle avec un grand ...
... sourire. » « Si tu parles d’hier, je suis désolé Maman. Je n’aurais pas dû te parler aussi crûment. Je m’en excuse et te promets que cela ne se reproduira pas. » « Ne t’inquiètes pas Mon bébé d’Amour. Je ne suis plus choquée. C’est pour cela que je t’appelle. J’ai réfléchi cette nuit et je me suis dit que j’avais de la chance d’avoir un fils aussi franc. Après tout ce n’est pas ta faute. Tu es un véritable étalon et comme c’est moi qui t’ai fait, je ne peux pas t’en vouloir. Peut-être même que je suis aussi fautive. Et puis, comme toi j’aime le sexe. Comme quoi, les chiens ne font pas des chats. » « Ah merci de me comprendre ma petite Maman chérie. Je pensais t’avoir fait peur et que tu m’en veuilles. » dis-je en me levant pour lancer un deuxième café. « C’est vrai qu’avec ton gros bazar, j’ai eu un peu peur », dit-elle en riant. « Mais pour ça non plus, je ne peux pas t’en vouloir. D’ailleurs je vois que ce matin tu es en grande forme. » Je baissais les yeux et vit mon gland dépasser du boxer le long de ma cuisse. Le Cialis !. « Oh heu, excuses moi maman, c’est que c’est la matin et… » « Ne t’excuses pas mon fils. Je vois bien que malgré tes efforts elle ne rentre pas dans ton short. Tu es vraiment monté comme un âne mon chéri. Mais il ne faut pas t’en vouloir. En fait c’est une bénédiction. Tu es équipé comme un acteur de porno. Tu pourrais faire carrière tu sais ? » Si elle savait… Pendant qu’elle parlait, je sentais ma bite se tendre et sortir encore plus de mon boxer. Quand ...