1. Je dévergonde ma mère... (2)


    Datte: 17/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... j’allais mettre mes mains dessus, elle m’arrêta. « Ah non, ne la caches pas. Elle a besoin de prendre l’air plutôt. Elle est tellement comprimée dans ton boxer. Enlève le ! Tu seras plus à l’aise. » « Tu… tu es sure ? Hier il m’avait semblé que… » « Hier c’était hier. Et aujourd’hui j’ai changé d’avis. Tu sais j’en ai rêvé toute la nuit et je crois que pour exorciser ma crainte, il vaut mieux que j’y sois exposée plutôt que je la fuis. » « TU veux dire que tu veux voir ma queue Maman ? » « Oui, vas-y cow boy, dégaines ton colt. » « OK, mais ne viens pas te plaindre après si tu fais des cauchemars. Voilà ! » Et je dégageais ma bite, bandée à moitié, pour la faire passer par-dessus l’élastique du short. De cette manière, ma grosse demi-raide s’exposait à la vue, sans que j’ai retiré mon sous vêtement. Et je sortais aussi mes couilles de la même manière. Ainsi ma mère ne pouvait rien rater du spectacle. « Houlala ! » fit elle. « Mes tes couilles sont énormes aussi. Elles doivent être bien pleines pour faire une telle taille. » « Oui Maman, en effet. » Je ne pouvais pas lui dire que j’avais limé une pute de l’Est toute la nuit et qu’elle m’avait fait venir 3 fois. « Mais comment se fait-il que tu sois complètement épilé ? Tu n’as plus un poil au pubis et tes couilles paraissent toutes lisses. Ca fait bizarre vu d’ici. » tnythhiq « Ben heu… C’est que de cette manière j’ai plus de sensations. » « Ah bon. Si tu le dis. Mais moi j’ai des poils et j’ai des sensations. Je me vois ...
    ... pas me faire une épilation intégrale. Ça fait vraiment acteur de porno ton truc. » « Je peux te dire que quand je me fais sucer, ça n’a rien à voir. » Aie, j’avais peut-être été trop loin. « Ho mais dis donc, n’oublies pas que tu parles à ta mère quand même ! » Dit-elle avec un petit rire coquin. « Ça pourrait me donner des idées. Déjà que je fais des rêves très chauds… » Je sentais qu’une porte était en train de s’ouvrir. Je bandais comme un taureau et le Cialis n’était pas seul responsable. C’est à ce moment qu’Irina est sortie de la chambre. Ses longs cheveux blonds emmêlés, collés sur le côté du visage, ses grands yeux bleus plein de sommeil, elle était nue. Une grâce et une innocence quasi enfantine se dégageait du tableau. Ses petits seins fermes en forme de poire dardaient vers le plafond et sa chatte lisse de tout poil était encore gonflée de nos ébats effrénés de la nuit. Bref, elle sentait le cul à plein nez. “Baby, did you make some coffee? I need it so much.” Et elle se pencha sur moi subitement pour poser un chaste baiser sur ma tige en béton. « Baby, you are so hard again ! You are a fucking horse ! Forget the coffee ! I just found my breakfast. » Mais alors qu’elle sortait déjà sa langue, je criai : « Irina ! Je te présente ma mère. » Il y eu une demi seconde de flottement et Irina lança un petit signe de la main vers le Mac, maladroitement accompagné d’un sourire gêné. Maman coupa sèchement : « Bon, je vois que tu es occupé. Et bien j’ai des choses à faire moi ...