Ursula, coach très perso (2)
Datte: 12/11/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
médical,
amour,
volupté,
Oral
fsodo,
init,
journal,
humour,
Ursula est docteur ès psycho-sexologie. Elle m’a aidé dans un moment difficile de ma vie à maîtriser mes éjaculations précoces, mes pannes sexuelles, en me redonnant confiance en moi et en m’apprenant à « faire l’amour ». Pour appliquer ses conseils, la mise en pratique n’a pu être réalisée qu’avec l’aide d’une amie très attentionnée, Marie-Gabrielle, qui m’avait donné son adresse après une série de lamentables tentatives de coïts avortés. Les techniques utilisées par Ursula pour parvenir à ma guérison relève du coaching sexuel. Une toute nouvelle façon, originale et efficace, de soigner, mais difficile à mettre en pratique. Au fur et à mesure de mes rencontres thérapeutiques hebdomadaires avec Marie-Gabrielle, sous l’œil et la main d’Ursula, je faisais des progrès en matière d’éjaculation et le ramollissement de mon pénis et mes pannes semblaient diminuer. Bien que cette situation soit pour le moins originale, quelquefois pesante, j’arrivais à m’en accommoder, comme Marie-Gabrielle. J’avais noté, lors de nos premières rencontres à trois, quelques gestes tendres, presque de la complicité entre les deux femmes. Sur le moment, en homme peu attaché à ce type de petits signes, je n’y avais pas pris garde. Après tout, je pensais qu’il valait mieux qu’une certaine complicité s’instaure entre ces deux femmes plutôt qu’un sentiment de jalousie. Et, très égoïstement, je n’avais surtout pas cherché à approfondir cette question qui pourtant, de temps à autre, venait hanter mon esprit. ...
... D’ailleurs, de Marie-Gabrielle, la belle et somptueuse brune aux yeux clairs, je ne connaissais pas beaucoup de choses. Juste qu’elle avait une fille, dont le père avait joué les courants d’air juste après la naissance. Et c’était tout. En dehors de la thérapie, il nous arrivait de nous retrouver pour un repas en tête à tête, presque en amoureux et, surtout, sans tierce personne. C’est comme ça que j’ai pu découvrir que Marie-Gabrielle et Ursula se connaissaient de longue date. Après le départ de son mec, Marie-Gabrielle avait été largement accaparée par sa vie de jeune mère célibataire. Jonglant avec des horaires de travail d’enfer, les couches et les biberons, la recherche de nounous, de crèches et baby-sitters. Bref, une vie compliquée qui ne laissait alors pas beaucoup de place à l’amour ni aux rencontres. Amours et rencontres d’autant plus difficiles que le sentiment d’abandon de Marie-Gabrielle avait tourné à la culpabilité. Eh oui, non seulement elle se sentait abandonnée, trahie, mais aussi coupable ! Coupable de quoi ? De n’avoir pas su retenir son mec, père de sa fille. Coupable d’avoir préféré accomplir son destin de femme, en mettant au monde un enfant, au détriment de sa vie sexuelle et de son travail, etc. Et des remords, des regrets, des raisons de culpabiliser, Marie-Gabrielle en avait à revendre. Elle en avait alors tellement, que toutes ses tentatives de rapprochement avec le sexe masculin, se soldaient inévitablement par une catastrophe. Non seulement elle ...